Rencontre I - Histoires de Sexe

Rencontre I

... de rendre crédible son jeu. J’en profite un maximum, reprenant ma respiration et surtout mes esprits. — Nous allons maintenant travailler les articulations : chevilles, genoux, entre autres. Accroupis-toi, mains croisées sur la nuque et dos bien droit. Je prends position, et aussitôt sens le garnissage imposé par Christophe. Ce dernier le sait car, sous prétexte de m’aider, sa main gauche vient redresser mes épaules en me prenant au-dessus des seins, tandis que la droite me prend aux fesses. Tandis que j’effectue les flexions, les deux mains sont passées sous mon jogging : la gauche a écarté le bonnet et me pince le sein tandis que la droite a écarté la ficelle de mon string. — Pas mal, ma douce. Je pense que tu es mûre pour connaître du nouveau.— Quoi d’autre, Christophe ?— Tu peux te recouvrir.— Merci, Christophe.— Suis-moi. Tu seras ma passagère, et tu auras droit de me caresser pendant le trajet.— J’ai compris. Nous rejoignons sa voiture, et il m’invite à baisser l’arrière de mon pantalon avant de m’asseoir sur le siège. — Je comprends, Christophe. Le contact de mes fesses sur le cuir me surprend mais n’a rien de terrible. Sitôt le véhicule démarré, je me tourne vers le conducteur ou bien, pour être plus précise, vers le pantalon de Christophe. Je n’ai d’autre choix que de poser ma main sur la braguette qui, je pense, épouse la forme d’une belle bite. Je caresse doucement et me demande si je dois aller plus loin. — Cela était plaisant mais tu n’auras pas le temps ...

... d’aller plus loin. Nous sommes arrivés, mais tu auras l’occasion de continuer bientôt cet exercice, ainsi que ton exhibition.— Pourquoi me faites-vous toujours peur ?— N’oublie pas que tu as accepté de m’obéir et particulièrement en ce qui concernait ta relative exhibition…— Je l’avoue. Après m’être réajustée et avoir remis mon sac à l’épaule, je sors et suis Christophe. Nous sommes dans une sorte de galerie marchande, avec nombre de lieux de consommation tels que bars, terrasses, pizzerias et restos. Parfois Christophe pose sa main sur une de mes épaules ou sur ma taille avant de distiller quelques mots : — Ici, tu ne risques rien. Loin de chez toi et, de plus, dans un lieu habitué à recevoir une clientèle très… diverse. Je ne peux cependant m’empêcher de penser que, pour la première fois, on me voit en compagnie d’un homme dont l’attitude ne doit pas être celle d’un copain. Devant une terrasse, un homme interpelle Christophe : — Hello ! Comment vas-tu ?— Bien, mon ami. Lui, me désignant : — Ta fiancée ?— Pas encore. Un peu jeune, mais elle y vient. Christophe me pousse à avancer et nous continuons notre déambulation. Pour la première fois de ma vie, j’ai été reconnue et présentée comme une femelle, la fausse femelle d’un homme suffisamment dirigiste. J’ai peur. — Nous allons dîner en duo et j’espère que cela te fait plaisir.— Bien sûr.— Puisque j’ai entendu tout à l’heure le mot fiancée, ce repas sera en quelque sorte notre repas de fiançailles… Entrons. Le serveur nous conduit ...