1. un bel anniversaire


    Datte: 07/03/2019, Catégories: Première fois

    ... manières, m’octroyant ainsi une revanche bien éphémère ! Malgré tout, son petit jeu continu, jusqu’à ce que, à l’unanimité, la famille décide de faire une pause entreles fromages et le désert. Tout ce petit monde se disperse entre la terrasse et la cuisine, si bien que je me retrouve coincé à la salle à manger avec ma cousine et une de mes deux sœurs. Au cours de notre conversation, Ludivine semble me guetter comme un félin surveille sa proie. Elle finit par s’absenter quelques minutes, l’air un peu déçu. Queva-t’elle encore inventer ? Je la vois revenir d’un air inquiet, d’autant plus qu’entre temps ma sœur a quitté la pièce. Je la dévisage, mais elle fait mine de ne pas s’en apercevoir. Après s’être assise à côté de moi, elle lâche, d’un ton détaché : - Tu devrais aller te soulager aux toilettes, tu fais peine à voir ! Elle joint ses mots de quelques mouvements explicites sur l’accoudoir du canapé, en rigolant. Quelle salope ! Comment veut-elle que j’ai l’air détendu si elle n’a de cesse de me faire bander ! Habile, son autre main profite demon étonnement pour me glisser un papier dans la poche. J’ai du mal à dissimuler ma gêne. De toute façon, il faut que j’en ai le cœur net. Bien malgré moi, je me conforme à ses conseils en partant m’isoler aux WC. C’est le cœur battant la chamade que je verrouille la porte derrière moi. Ma bite est fortement tendue dans mon pantalon, ce qui finitd’aggraver les saccades de ma respiration. Après deux grosses inspirations, je me décide à ...
    ... déplier la feuille. Fab, mon cadeau n’est pas une blague. Après tout, je te dois bien ça, tu ne vas par rester ignorant toute tevie ! Je suis seule à la maison vendredi prochain… tu devrais passer ! Ludivine. PS : bonne branlette ! J’ai l’impression d’avoir couru un sprint. Mon souffle est court, mes jambes flageolent. Ma queueme fait terriblement mal dans son carcan d’étoffe. Il faut que je me soulage, sinon, c’est sûr, je vaissouiller mon pantalon. De façon précipitée, j’extirpe ma queue de sa prison, pressé d’en finir avec cettecolère qui bouillonne dans mon cerveau. Cette vicieuse ne perd rien pour attendre…J’entreprends une astiquationau rythme rapide. - Mmmf…mmmf… Pour me stimuler, je m’imagine en train de la sodomiser sans retenue : quelle belle vengeance se serait d’entendre cette petite libidineuse me supplier d’être moins brutal, de la posséder moins profondément… - Mmmf… salope…. mmmh… Tu vas… mmmf… voooiir… Une vingtaine d’allers-retours plus tard, je me cambre, suffoqué : une première giclée de foutre s’écrasecontre la lunette relevée des toilettes : - Raaahhh… Aaahh… mffff… Les millilitres suivant s’étalent, en rafale, sur les parois de la cuvette avec un son mat caractéristique. Un peu calmé, je rejoins juste à temps la table pour souffler les bougies. Ma salope de cousine me regardeavec un sourire moqueur. Heureusement pour moi, la réunion de famille touche rapidement à sa fin, et c’est avec un soulagement certain que je regagne la voiture paternelle avec mes ...
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