Eté 2018 Voisins, voisines - Soirée régate
Datte: 08/03/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Lesbienne
Hardcore,
... performance du membre, multiplier les zones de plaisir en simultané… Il se fait jouir entre mes seins, un gode dans mon anus, mes doigts dans mon vagin…Son sperme gicle dans ma bouche alors que je fermais les yeux, en transe…J’avale, suavement, en déglutissant…Ils sont là, ébahis lorsque je passe ma langue sur mes lèvres pour recueillir le surplus…Quel pied, un sommet, un puissant dérivatif que l’on peut réaliser entre lesbiennes, en variant simplement les zones utilisées, comme un sein utilisé en tant que jouet, venant titiller le sexe gonflé de la partenaire…Elle peut aussi devenir fontaine, et placer son sexe sur la bouche…Fred me pose la dernière question…- Romain t’a-t-il déçu ?- Non, jamais, si oui, il avait des excuses, c’était de ma faute ou une raison secondaire.- Si tu le trouves avec une autre, tu fais quoi ?- On se trouve souvent dans ce contexte…- Bon… Tu as les idées larges et confiance sans limite en ton Romain…- As-tu essayé d’autres partenaires ?- Oui, des noirs, avec des grosses queues qui nous emportent au paradis, qui nous démontent la chatte et le cul, et nous laissent pantoises au matin…- On ne peut pas lutter…- On s’en lasse, c’est comme de tout… On oublie la simplicité, la tendresse, on revient vers notre quotidien comme frustrées de s’être laissé séduire par le volume. Nos amants de race européenne ont beaucoup d’autres moyens de nous emporter… Machistes, pervers ce qu’il faut, inventifs, si un bateau réduit les zones de jeu, la vie propose des ...
... tonnes de solutions à nos cerveaux dérangés…- A quoi tu penses ?- Porte-moi dans une annexe, et viens avec moi, disons une petite heure…- Vous êtes d’accord ? Je prends une caléra…- Parfait, on nous l’avait jamais fait !...Empaquetée dans une grande serviette de bain, me voici sortant du port, il nous pilote à vue, la nuit est tombée, l’air est frais, je regrette un peu, mais c’est excitant de se retrouver avec un inconnu dans un bateau de deux mètres à peine… Il nous conduit vers une plage, accoste, branche le camescope…- Voilà, nous sommes échoués, sans boire ni manger… On a une heure avant la marée…- Je suis nue, il est nu, nous ne pouvons décemment demander de l’aide, pas de fusées, pas de portable… Rien…- Tu désires quoi si on doit mourir déchiquetés sur les rochers ?- Allumer un feu pour me réchauffer, faire l’amour sur la plage, comme si c’était la dernière fois…- Tu me surprends chaque minutes… Tu es belle à en crever, intelligente, tu viens de croquer trois de mes copains, et non des moindres, tu les as vidés, tu en as joui comme une reine et tu as éclaté ta merveilleuse et attirante chatte que j’ai envie de fourrer aussi, à en crever de désir…- Mets la couverture, viens contre moi…L’effet est immédiat, perdus sur ce coin isolé de la côte, libres, fous, il me l’a dit, il me la mange, la savoure, et je m’ouvre pire qu’une moule, et les embruns emportent mes gémissements… La lune nous éclaire, quelques lumières des ports… Sa bite est énorme, la plus grosse de ces messieurs… ...