Première approche
Datte: 08/03/2019,
Catégories:
fh,
jeunes,
Collègues / Travail
cérébral,
revede,
photofilm,
Masturbation
Oral
hdanus,
hgode,
init,
... Avec eux, elle donnait l’apparence d’une fille libérée, libertine, mais ils étaient loin de se douter que ce n’était pas qu’une apparence… S’amusant de la honte de ses amis, sa petite Karine était toute rouge, elle se dit qu’ils n’étaient pas encore prêts à aller plus loin. Elle rêvait souvent de partouzes avec eux, et elle espérait bien y arriver. Fallait prendre le temps, y aller petit à petit. Elle aimait la patience, le moment où rien n’est encore fait et où tout est possible, où l’on peut imaginer ce que l’on veut. Le plaisir est aussi dans l’attente. Et elle était sur la bonne voie, elle en était sûre. En face d’elle, elle voyait clairement que Michaël bandait, les yeux fixés sur sa petite culotte blanche. Devant le mutisme de ses amis, ce fut elle qui relança la conversation. En essayant de faire un nouveau pas. — Bah alors Guillaume, t’as trop bu et tu peux plus te lever ou alors faut que je l’enlève moi-même ? Guillaume, content que la conversation ait repris, sauta sur la première partie de la question de Carole (la deuxième partie, il n’avait dû l’entendre qu’en rêve…). — J’suis certainement moins bourré que toi car c’est pas moi qui ai la petite culotte à l’air ! Tous s’esclaffèrent, heureux que l’atmosphère redevienne normale, comme d’habitude quoi. — Bon, puisque vous êtes moins cuits que moi, je comprends que vous n’avez pas encore assez bu ! Partants pour une autre tournée de Bailey-Cointreau ?— On est tous en voiture, faudrait peut-être pas exagérer, on a ...
... déjà pas mal bu… C’était Karine, la sagesse incarnée. Elle n’avait pas tout à fait tort bien sûr… — Julien, tu restes dormir toi ce soir ?— Oui bien sûr, si tu veux.— Bien sûr que je veux. Carole et Julien étaient seuls, leurs amis étaient partis. Assis sur le canapé, les deux tourtereaux s’embrassaient passionnément. Leurs mains ne restaient pas inactives. Julien avait glissé sa main droite sous le petit haut noir de Carole. Il remontait tranquillement sa main vers la poitrine de son amie. Il fut surpris de ne pas rencontrer l’obstacle d’un soutien-gorge. Elle avait les seins nus sous son débardeur ! Carole remarqua sa surprise, et elle décida immédiatement d’en jouer. Elle aimait bien jouer avec l’innocence de son ami. — Mon maître de stage a eu exactement la même réaction que toi !— À propos de quoi ? Guillaume ne pouvait s’imaginer qu’elle parlait de sa poitrine libre de tout soutien-gorge. — Bah quand il a vu mes seins à l’air libre !— Tu lui as montré ta poitrine !— Je te rassure, c’était après qu’il m’ait dit qu’il me prenait, c’était pas pour l’influencer !— Tu lui as montré ta poitrine ?— Bah c’est pas moi qui vais t’apprendre que les hommes ont l’œil baladeur. Quand je me suis baissée pour prendre mon sac, j’ai parfaitement vu son regard plonger dans mon décolleté.— C’est quoi ce vieux pervers !— Tu y vas un peu fort non ? Et puis tu crois que je t’ai pas vu mater la poitrine de Linda toute la soirée ! Elle ne savait pas si c’était vrai mais elle se doutait que ça ...