1. Première approche


    Datte: 08/03/2019, Catégories: fh, jeunes, Collègues / Travail cérébral, revede, photofilm, Masturbation Oral hdanus, hgode, init,

    ... pas à me contacter.— Merci, je n’y manquerais pas. Au revoir.— Au revoir, à bientôt. Christine était presque déçue de voir Carole s’en aller. En quelques minutes, elle était tombée sous le charme de la jeune fille. Aguicheuse certainement, mais un petit côté naturel aussi, sympathique, sentant la joie de vivre. Christine se demandait si elle était attirée par les femmes ou si son compliment était sans arrière pensée ? Et puis, Christine repensa à Philippe qui était revenu tout rouge de son entretien avec la jeune fille. Qu’avaient-ils fait ? Peut-être l’avait-elle seulement chauffé ? En tout cas, elle se souvenait parfaitement que Philippe lui avait dit, à l’époque où il avait pensé prendre un stagiaire, qu’il voulait quelqu’un d’expérimenté, en école d’ingénieur même peut-être. Et puis il avait pris cette fille, en première année de BTS ! C’était surprenant. Elle n’avait jamais imaginé Philippe comme étant un homme cédant à ses pulsions, mais là, elle ne voyait pas d’autres explications. Philippe était attiré par la jeune fille. Et celle-ci ne paraissait pas farouche… L’entretien s’était-il transformé en fornication ? Mais pouvait-elle blâmer Philippe ? Elle-même était tombée sous le charme de Carole. Elle était impatiente de la revoir. Il n’y avait pourtant sans doute rien à en attendre mais elle ne pouvait s’en empêcher. Elle essayait de se raisonner, ce n’était qu’une allumeuse, rien de plus mais ses pensées la ramenaient sans cesse à ce moment où elle lui avait dit ...
    ... qu’elle était très jolie. Mais c’était surtout cette fille qui était très belle. Un ange. Avec des jambes parfaites. Ses jambes. Christine aurait eu envie de les toucher, de les… lécher, de remonter plus haut, toujours plus haut, sous la jupe… Le téléphone interrompit ses pensées et la ramena immédiatement à son boulot de standardiste. Triste réalité. - Philippe - Alors qu’il sortait, Philippe fut rattrapé par Christine qui se porta à sa hauteur au pas de course, ses seins volumineux se balançant au rythme de son avancée. Une vision familière pour Philippe mais toujours aussi agréable. — C’est toujours OK pour ce soir ? Philippe avait complètement oublié que Christine devait venir manger chez eux ce soir. Sa femme n’avait, elle, certainement pas oublié, c’est ce qui était pratique dans le fait d’avoir une femme à la maison, elle s’occupait de tout ce genre de choses. — Oui, bien sûr, je ne sais pas ce que Sophie nous a mijoté mais ça sera sûrement succulent.— Oui, sans aucun doute, c’est un vrai cordon bleu. Quand est-ce qu’elle t’apprend à cuisiner ?— Oh, je suis pas bien doué pour ça, vaut mieux pas je pense.— Quel manque de courage !— Ouais c’est possible. J’suis qu’un gros nul, c’est bien connu…— Un gros nul pas courageux pour un sou. Des fois on se demande bien pourquoi Sophie t’as épousé ?— Elle a sans doute eu pitié de moi, j’vois que ça…— Un jour, elle m’a dit que c’était parce qu’elle te trouvait très beau. À l’époque peut-être… Philippe et Christine éclatèrent de rire. ...
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