1. Oh! Je suis une putain ! (2)


    Datte: 08/03/2019, Catégories: Transexuels

    Epuisé, je ne me suis même pas rendu compte que je m’étais endormi, jusqu’à entendre une voix monter crescendo, me repêchant de mes rêveries confuses, torpillées par le déroulement effréné des événements. Je me réveille en hâte, toujours nu sur le canapé, je me redresse sur mes genoux et cligne de mes yeux encore à moitié endormis, comme pour chercher un quelconque signe de vie autour de moi. Le mec de la veille est debout au centre de la pièce, habillé différemment d’une chemise à la cravaté défaite et d’un pantalon noir qui finit sur de belles chaussures classiques. Après avoir fini de parler au téléphone il se retourne et me regarde, comme s’il remarquait tout juste ma présence. Face à son regard froid, je ne sais plus quoi faire de mes mains, alors je croise les bras et frémis quand un courant d’air me caresse le bas du dos. — T’es pas croyable, dit-il en posant son téléphone sur le comptoir et en se dirigeant vers moi. Tu t’es endormi, alors que ton cul était encore rempli de mon foutre. Je dirige machinalement ma main à mon cul et touche de mesdeux doigts les parois de mon anus encore sensible, et une petite décharge électrique parcourt soudain mon corps, me faisant entrouvrir les lèvres. — Pourquoi tu as parlé de toi au féminin ? demande-t-il soudain en s’asseyant à côté de moi, se collant à ma jambe. — Quand ça ? je demande presque dans un murmure. Mais avant qu’il me réponde, j’avais déjà la réponse en tête. Je me suis rappelé de son corps musclé soulevant le mien, ...
    ... pendant que je l’entourais de mes jambes comme une salope obéissante. Son regard enflammé alors qu’il frottait son gland le long de ma raie. Mon halètement en lui disant que je suis bien « ouverte ». Son sexe dur qui me remplissait, me limait, et mes gémissements qui se sont tu après qu’il se soit vidé en moi. — Ne fais pas la conne. — Je ne suis pas une fille, dis-je en me levant doucement, les jambes fragiles. A peine me suis-je levé que je sens uneclaque me cingler la fesse gauche. Je tourne la tête vers le mec costaud qui se mordait furtivement la lèvre. Mon regard de chienne battue ne lui soutire aucune tendresse, son pantalon trahit la naissance d’une érection, et je ne sais pas pour quelle raison, je me mets à m’humecter les lèvres.putain qu’est-ce qui me prend ! Je ne suis pas sa meuf, je ne suis obligé à rien ! — Qu’est-ce que tu regardes comme ça ? demande-t-il d’un regard empli de vice en pressant sa bite sur son pantalon, traçant ses contours les plus abjects. Je rougis et me dirige vers le comptoir, toujours nu. Une envie soudaine de marcher sur la pointe des pieds me prend, mais dès que je le fais je me mets à dandiner grossièrement du cul, alors j’arrête. J’entends néanmoins un soupir de déception derrière-moi. — C’est quoi ton nom ? je demande en prenant un grand verre d’eau pour étancher ma soif. — Mike. Et toi ? Sans lui répondre, je me retourne et contemple ce grand espace salon-cuisine, mon regard passe soudain par une porte entrouverte, celle de la chambre ...
«123»