1. Cocu magnifique


    Datte: 08/03/2019, Catégories: Mature, Première fois Voyeur / Exhib / Nudisme

    Je sais être accommodant. Mme RIVAL avait passé sa jolie tête dans l'encadrure de la porte. Je connaissais ce sourire de jolie femme auquel on ne peut résister. J'étais assez blasé sur la chose. Cela fait des années que je gère ce camp de vacances. J'en vois passer des culs et des mignons minois. Pour tout dire je me sers volontiers dans le cheptel. Une femelle en vacances est totalement désinhibée. Elle entre machinalement en compétition. Elles ne voient en ses alter ego que des rivales. Elle n'aspire qu'à débaucher à son tour un mâle.Ajoutons à cela les caprices de la statistique. Par un sort inique souvent se trouve-t-il qu'il y a en un endroit et un instant T plus de mâles que de femelles. Bref un petit con replet et chauve comme moi a grande chance de se dégoter une jolie fille à laquelle il n'aurait pu prétendre en une autre circonstance. Vous goûterez ma lucidité et mon humilité. Sans scrupule je prenais part donc à cette orgie quotidienne. Les conversations entre hommes étaient d'évoquer nos bonnes fortunes et de comparer les mérites de l'une ou l’autre salope.Je confesse que le monsieur de soixante ans que j'étais avait une faiblesse pour le tendron. J'avais du mal à résister aux séductions des jeunes femmes de vingt, trente ans. Celles-ci pouvaient être largement mes filles. Je n'ai jamais pu démêler ce qu'avait de caractère subversif ou i****tueux une pareille attirance. Je m'en tiendrais au point de vue que la perfection des lignes de ces corps et leur chair ...
    ... ferme me fascinait. Il n'était guère rare notamment les après-midis qu'on m'eût surpris dans un pieu avec l'une de ces créatures.Mon plaisir était augmenté qu'elles eussent un compagnon voire un mari avec lequel je pouvais parfois fricoter. En effet je n'aime rien tant que la compagnie des cocus. Ils font florès à cette époque de l'année. Il est savoureux d'entendre l'un vous dire qu'il a cocufié un tel ignorant lui-même qu'il vous doit les cornes qui lui poussent sur la tête. Bref Mme RIVAL était une femme belle et remarquable et dont l'âge tournait aux quarante ans. Soit un peu au-delà de mes goûts. N'empêche elle valait plus que le coup d’œil.Ce qui en outre pouvait m'arrêter était que j'adorais son mari Philippe. Un type merveilleux le cœur sur la main. Je trouvais qu'il était trop indulgent et aveugle à l'égard de sa jolie femme. J'étais bien placé pour savoir que certains l'avaient maintes fois attrapé au cours du séjour. Outre deux, trois vieux cochons elle avait cédé à de jeunes play-boys costauds. Rien que de banal en cela. Elle imitait ses autres congénères cédant ainsi à une sourde et puérile compétition. C'était à qui se taperait le petit moniteur ou autre champion de ceci ou cela.Elle n'avait pas froid aux yeux. J’avais été un peu choqué la première fois que Philippe m'eût invité dans leur appartement. Elle bronzait sur le balcon tandis que nous papotions et n'avait daigné se mettre un truc sur le cul. En effet à deux pas de moi elle m'offrait dans la lumière brutale ...
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