Le gros Tonio
Datte: 08/03/2019,
Catégories:
fh,
couple,
extracon,
Collègues / Travail
nympho,
poilu(e)s,
bizarre,
dispute,
odeurs,
Oral
pénétratio,
fsodo,
portrait,
humour,
extraconj,
attirgros,
... à moitié. Je sais qu’il se lève très tôt le lendemain matin alors je n’essaie pas de le réveiller. Mais je suis un peu déçue, je me serais bien encore fait baiser car il part pour trois jours en Pologne et, ces temps-ci, je me sens vraiment d’humeur lubrique. ~~ooOoo~~ Le lendemain, je résiste tant bien que mal aux plaisanteries grivoises du gros Tonio. Il me faut pourtant reconnaître que ses sous-entendus cochons me font de plus en plus d’effet, je ne sais pas ce qu’il a ce mec, il n’est pourtant pas beau. Mais comme on dit, je mouille pour lui ma petite culotte et je l’imagine très bien en train de me baiser. Mais, évidemment, je me garde bien de le lui dire ! De retour enfin à la maison, après cette journée de folle excitation, je me frotte la chatte comme une damnée en pensant de nouveau à mon chef. Ma décision est prise, le lendemain, Bernard n’est pas là et c’est le jour ou jamais, j’ai trop envie de l’essayer… ~~ooOoo~~ À midi, pendant la pause, je m’arrange pour me retrouver un instant seule avec le contremaître. Dans son bureau, je ne me dégonfle pas, je lui avoue de but en blanc que s’il veut de moi, il peut m’avoir quand il veut. Et comme il ne demande que ça, il entreprend aussi sec de me peloter. — Je savais bien que t’étais une petite salope. Si tu veux goûter à ma grosse queue, rejoins-moi plus tard, à l’heure de la débauche, qu’il me dit après m’avoir roulé une galoche. Quand les autres seront partis, nous serons plus tranquilles. Je vais t’en donner, moi, ...
... des coups de bite, ma belle. 16 h 30, tout le monde s’en va, j’attends encore un peu. Puis je vais le rejoindre mon chef dans son antre. Il ferme alors la porte, il a pris soin de baisser les stores, ainsi nous sommes tranquilles. Il sort alors de son bleu de travail un engin de taille impressionnante, à la fois plus gros et plus long que celui de mon mari. Je m’agenouille immédiatement devant lui pour le lui sucer. Très odorante cette queue, son odeur me plaît de suite, cette odeur m’excite, j’ai hâte de sentir cette grosse bite en moi. En attendant je masse le gros ventre de mon amant en lui suçant la bite. Son torse est très poilu, je le trouve incroyablement viril. Il me fait bientôt me relever et pencher vers son bureau, puis il trousse ma jupe avec fermeté et s’enfonce d’un coup en moi. C’est un réel plaisir de profiter enfin de l’objet de mes fantasmes, cela fait quinze jours que j’en rêve. Le gros mâle me défonce avec brutalité en me traitant de petite pute. Je suis heureuse de passer ainsi à la casserole et de lui faire autant d’effet. Encore plus excitée que d’habitude, la jouissance vient vraiment très vite et s’empare toute entière de mon corps. Je suis secouée de spasmes. Je le sens qui se vide alors entièrement dans mon ventre, ce qui quadruple mon plaisir. Mais ce n’est pas encore fini car nous avons tous les deux encore très envie. Le temps de le remettre en condition et de me mettre entièrement à poil, il s’installe confortablement dans son fauteuil, bite ...