Du tas au tac 2
Datte: 08/03/2019,
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Dans la zone rouge,
... terrible migraine ce soir à cause de l'énervement de l'attente à la boulangerie. - Ne pourrais-tu remettre à demain ? Charles nous invita à faire la connaissance de sa jeune amie. Marie aurait volontiers remis la rencontre à plus tard. Pourquoi ? Par jalousie ou par peur d'un incident qui trahirait son intimité avec notre ami. Je l'entraînais à la fête. Nouveau repas bien arrosé. Plus Charles se montrait tendre et affectueux avec Aude, plus Marie se renfrognait. Aude était jolie, si jeune, si fraîche mais avec un je ne sais quoi de triste dans le regard. Ses longues jambes sous sa légère minijupe jetèrent le trouble dans mon coeur qui portait le deuil des mardis. Je me souvins du temps béni des conquêtes faciles , sans regrets, sans soucis des lendemains, sans pensées de fidélité ou d'appartenance, où l'échange des filles était la règle entre amis. Mais Marie ! Oh! Marie ! Car Charles continuait à réchauffer sa verge dans le ventre de Marie quand le four du boulanger refusait de travailler assez vite le mardi. Qu'auraient-ils Car le mardi, jour de panne finissait en migraine. Fallait-il pour autant perdre l'épouse et l'ami ? Je ne m'y résolvais pas, j'attendais en souffrant, avec une certaine volupté dans cette souffrance nouvelle. Aude éliminerait-elle cette concurrente ? Je l'espérais. - Aude, dans le tiroir de la commode j'ai rangé une nappe que Polo m'a prêtée. Voudrais-tu la lui rendre. Paul te montrera de quelle nappe il s'agit. Charles venait de trouver un moyen de ...
... m'éloigner de ma femme. Je suivis le parfum de la charmante jeunette, avec des réminiscences des temps heureux où je draguais avec bonheur, où je décidais de ma vie, de qui m'accompagnait ou de qui me quittait, où il suffisait de la danse lascive d'une jeune croupe pour faire bouillir mon sang et mon sperme. Aude balançait devant moi le roulement chaloupé d'un superbe popotin. Mon passé houleux remontait, j'avais des démangeaisons dans les mains...des élans qui les envoyaient vers l'avant. difficiles à contrôler. Pour chercher dans le tiroir bas de la commode, au lieu de s'accroupir, Aude écarta les pieds et se pencha pliée en deux au niveau des hanches. La jupe collée au corps suivit la courbe, remonta livrant à ma vue son entrecuisse et la bande blanche d'une culotte "petit bateau" un tantinet passée de mode mais marquée en son milieu d'un pli long, en creux, assombri par une humidité récente. Je devinai les contours et le dessin de la fente féminine, mon désir monta d'un cran. Par désespoir suicidaire, déçu par la conduite de Marie, par esprit de vengeance, je cédai à une pulsion violente, pointai un index sur le sillon creusé entre les bourrelets des grandes lèvres. Mon doigt parcourut toute l'étendue de cette ligne de l'anus au clitoris? J'enfonçai davantage le tissu dans la fente et j'insinuai des pensées libidineuses dans la tête de la jeune femme. En temps normal j'aurais jugé le geste indigne, d'une goujaterie condamnable,sans nom. J'attendis une gifle qui ne vint pas, ...