1. La voisine ingénue


    Datte: 11/03/2019, Catégories: Masturbation Première fois Inceste / Tabou

    ... l’ouvrirez chez vous…— Qu’est-ce que c’est ?— Je vous laisse la surprise. Mais j’espère que vous apprécierez ce modeste présent à sa juste valeur, pas pour le prix, non, mais pour sa beauté… et la votre…— Vous êtes bien mystérieux, Chris… Oh, et je suis folle de rester vous écouter. Vous êtes un… un… vicieux… un… euh… obsédé…Je notai que c’était la première fois qu’elle m’appelait par mon prénom.— Oui, je le confesse, en un seul mot, Anne-Claire (mais cette subtile allusion lui échappa naturellement), je suis obsédé par vous, par votre beauté, votre sensualité que j’ai devinée contenue… et… prête à se libérer, exulter. Je veux être la flamme de votre désir, le calice de votre volupté, le brasier de votre plaisir, le…— Arrêtez, vous dites n’importe quoi…Nous restâmes quelque temps à deviser de diverses choses, la couleur de la nature, la ronde des saisons. Je lui pris la main. Elle ne la retira pas. Je parvins à obtenir son numéro de téléphone. J’avais naturellement cherché mais il figurait sur la liste rouge. Je lui donnai le mien l’invitant à m’appeler dès qu’elle le souhaiterait.— À demain, Anne-Claire. Je vous suggère de venir avec ce petit présent d’aujourd’hui… Vous comprendrez… ajoutai-je en voyant son regard intrigué.J’avais de plus en plus l’impression que le poisson était sur le point de mordre, l’hameçon n’étant plus très loin de la bouche.Cette approche fort patiente ne me privait naturellement pas de visiter quelque amie disponible, que j’honorai de mon mieux, ...
    ... tout en pensant aux charmes encore mystérieux de ma voisine.Ce même soir, j’avais tenté un appel téléphonique mais une voix de rogomme m’avait surpris. Je bredouillai quelques mots prétextant une erreur.Je profitai de ma soirée pour écrire un joli texte d’une exquise lubricité (selon mes critères) que je me promis de faire lire à Anne-Claire dès le lendemain. Je me persuadai qu’elle serait de nouveau fidèle à sa promenade et prêterai une oreille encore plus complaisante à mes assauts.Le lendemain, impatient de mesurer les effets de mes suggestions, je déambulai dans le jardin public, cherchant Anne-Claire qui hélas, ne se montrait pas. Je passai devant les bancs qui avaient abrité nos premiers contacts. Elle n’y était pas. Je m’apprêtai, fort déçu, à quitter le parc, lorsque je la vis, assise dans une discrète tonnelle de feuillage, bien à l’écart du passage.Je me précipitai vers elle et vint m’asseoir. Elle me jeta un coup d’œil, sans rien dire ni faire. Je l’observai. Elle avait revêtu aujourd’hui encore, son éternel imper, mais dessous, il y avait du changement. Elle portait certes un pull de laine blanche, plus près du corps, qui moulait bien sa généreuse poitrine mais aussi une jupe droite, grise, et plus courte, au-dessus des genoux, remontée légèrement sur ses jambes.— Bonjour Anne-Claire… je vous cherchais. Je pensais que je ne vous verrai pas aujourd’hui…— Oui, je vous ai vu vous promener…— Humm, alors ?Ma question ne pouvait avoir qu’un seul sens.— Je euh… les porte…— ...
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