1. C'était il y a...


    Datte: 11/03/2019, Catégories: fh, ff, 2couples, grp, copains, campagne, facial, Oral pénétratio, fsodo, Partouze / Groupe

    C’était il y a un moment déjà… Nous étions jeunes et beaux, et insouciants parfois. Le début du nouveau siècle, le défi de n’avoir nul tabou, l’exploration des sens, l’expérience des limites. Nous étions pourtant sûrs d’en avoir, elles tombèrent l’une après l’autre… Toutes ? Non, jamais toutes… n’avons qu’une vie… Nous étions donc deux couples libertins, en week-end loin de tout. Je me croyais jeune libre et libéré, et que ma miss joyeusement contrainte me suivait, pour faire comme, pour faire cool, pour se faire du bien aussi. Je découvris, ce fameux week-end, que couve en tout homme un pâle feu… et que seules les femmes n’ont nulle limite quand elles se lâchent… Nous étions donc deux couples, Moi et ma femme, Luc et Léa. Nous sortions tous les quatre ensemble depuis quelques mois. Mangions ensemble, baisions ensemble, vivions presque à 4. Puis il y eut ce week-end… Un peu de route. Un peu de montagne. Du vert, des bois. Un gîte isolé. Un grand gîte. Plusieurs chambres mais nous n’en choisîmes qu’une seule, avec un grand lit. Pourquoi deux lits quand on tient tous dans un seul ? Et une journée… la journée où je découvris vraiment ma femme. C’était l’heure de la sieste. Eh oui ! quand on dort si peu la nuit, il faut bien récupérer un peu. Je me réveille sur un canapé. Je ne trouve personne sinon Léa qui dort elle aussi sur un autre canapé. Ni ma femme, ni Luc. Je fouille la maison. Rien. Quand j’entends un bruit dans la salle de bain… j’ouvre, et dans un bain de mousse, je ...
    ... vois ma miss branlant la belle queue de Luc entre ses seins, un doigt dans l’anus de mister, en lui répétant instamment de gicler sur elle. Mais je vois surtout les yeux presque vitreux de ma douce, comme possédée par son envie de sexe. Je bande immédiatement, mais je les laisse à leur jeu, sentant que cette jouissance leur appartient. Je redescends, prends une guitare et me change les idées sur quelques accords, tout en regardant Léa se réveiller peu à peu. Cela dure… au moins une heure après, c’est à deux que nous nous rendons dans la salle de bains, car les cris ne font que redoubler. Nous ouvrons la porte, et là, voilà ma miss en levrette hurlant à la mort en se faisant défoncer : — Vas-y ! Ô putain ! Encore ! Encore ! L’eau jaillit de la baignoire, éclaboussant toute la salle de bains, mais qu’importe. Je n’avais jamais vu ma femme dans cet état-là… mais je n’étais pas jaloux. Je venais juste de comprendre à quoi correspondait l’échangisme pour elle : faire avec d’autres ce qu’elle n’oserait jamais dire ou faire avec moi, baiser, encore baiser… et non faire l’amour ! Je me mets à bander sans rémission… Heureusement Léa est là, et nous nous lâchons dans une chambre. Léa suce divinement et se donne sans retenue. Cela suffit grandement à mon bonheur, pendant que ma femme continue le nettoyage de la salle de bains aux grandes eaux. 2+2 en chambre séparée cela s’appelle dans le petit vocable libéré. Et cela a parfois du bon. Quand nous eûmes fini notre affaire, il n’y avait ...
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