1. Mon cher maître


    Datte: 11/03/2019, Catégories: fh, bizarre, hsoumis, fdomine, humilié(e), Voyeur / Exhib / Nudisme sm, fouetfesse, humour,

    ... Viens, mon beau Médor. Viens voir ta maman. Si tu ne viens pas tout de suite, je vais me fâcher ! Maintenant les yeux d’Anne sont en billes de loto ! Médor se rapproche de sa maman en jappant et en remuant les fesses de droite à gauche. La femme brune lui boucle le collier autour du cou, fixe la laisse. — Le Médor à sa maman est content, oh oui, il est content, le Médor à sa maman ! Elle caresse la calvitie de Médor, il jappe plus fort. Anne me prend la main et la serre. — Mais Médor n’a pas fini son vin ! Tu veux finir ton vin, mon Médor ? Couinements, balancement frénétique des fesses. La femme brune ouvre son manteau, écarte les cuisses, verse du vin sur sa toison. Médor vient lécher avec de grands bruits de langue. — Il est content, le Médor à sa maman, il est content avec son vin vin, il est bon, le vin vin à son Médor ? La fréquence des pressions sur ma main augmente. Je regarde Anne, elle se tient la bouche avec son autre main. — Attention, Médor, tu vas trop loin. Tu vas trop loin… C’est bien, Médor… Tu recommences, Médor. Fais attention ! Ah non ! Médor, tu as été trop loin ! Elle lui donne un coup de cravache. Médor se recule, pleure. — Le Médor à sa maman n’a pas été sage, je vais être obligé de te punir ! Elle prend la cagoule, qui est en fait une muselière, et l’ajuste sur le museau de Médor. Anne pouffe. Heureusement que Médor jappe toujours ! Je lui mets la main sur la bouche, je sens ses larmes couler. — Médor veut faire sa petite promenade ? Viens faire ta ...
    ... petite promenade, mon Médor. La femme brune se lève, entraîne Médor avec la laisse. Ils disparaissent de notre vue. Je chuchote : — Calme-toi ! Du calme ! Le couple fait plusieurs fois le tour de la cave, Médor renifle et couine, la truffe au ras du sol. Il s’arrête en face de nous, lève la patte ! — Médor, que fais-tu ? Mais tu es en train de pisser ! Tu es un vrai cochon. Cochon, Médor ! Cochon ! Cochon ! À chaque « Cochon », elle lui donne un coup de cravache. Elle s’assied sur un tabouret. Médor se met à aboyer. Il vient vers elle, lui prend la cuisse entre les avant-bras et se frotte sur sa jambe en jappant. La femme brune tente de le repousser, il se met à grogner. — Mais ça ne se fait pas, voyons, Médor ! Arrête. Tu es sale. Arrête, Médor. Médor halète de plus en plus fort. — Sale ! Médor, sale ! Sale. Les muscles du ventre me font mal. Je regarde Anne : elle serre ses mains entre les cuisses. Je passe ma main : elle s’est compissée ! Nous descendons et nous asseyons sur la caisse. Un fou rire silencieux nous tord. J’en pleure, moi aussi. Nous entendons : — Là, Médor, là, c’est bien. Après des bruits divers, nous remontons doucement regarder : le couple est au bar, habillé, un verre à la main. — Vraiment, chère amie, c’était très très réussi, vraiment. Je suis très content, très très content.— Je suis très heureuse de vous avoir satisfait, mon cher maître.— Il ne me reste qu’à vous raccompagner, chère amie. Pardonnez-moi, chère amie, j’allais oublier une petite chose. Il ...