Son patron m'avait indiqué qu'elle était lesbienne...
Datte: 12/03/2019,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
amour,
facial,
Oral
pénétratio,
fsodo,
hgode,
hsodo,
jouet,
confession,
fsodoh,
... mégarde mis le taux de TVA d’un article à zéro, mais il faut bien mettre la TVA sur ces ventes. C’est un article à 1 € que nous avons vendu cent treize fois, d’où les 113 € HT. En fait, c’est du TTC.— Mais Olivier, comment voulez-vous que je m’en sorte, si vous faites des trucs pareil ? Vous ne vérifiez pas ? Plus elle parlait, plus elle se penchait vers moi. Je voyais non seulement sa poitrine, mais aussi son ventre plat, et je devinais plus ou moins les contours de sa culotte. Noire aussi ! Il me revint en mémoire une conversation, l’année précédente, ou elle me demandait pourquoi j’étais toujours habillé en noir. Je lui avais répondu que c’était une couleur que j’aimais, en plus d’être passe-partout. Stéphanie prit la feuille de caisse incriminée, puis fit le tour du bureau pour se mettre juste à côté de moi, toujours assis, elle debout. — Je ne peux pas passer mon temps à chercher à comprendre… La compta, c’est rigoureux, il faut être attentif, soigneux, c’est important, quand même ! Tenez, je vais vous montrer, sur le mois d’avant, je suis sûre de tomber sur une autre anomalie ! Tout en disant cela, elle me tourna le dos, s’accroupit, et entreprit de fouiller dans une des boîtes d’archives. Sa robe était tendue sur ses fesses, je distinguais l’empreinte de sa culotte. Un string ! Noir, ça se voyait à travers. Ses fesses étaient à moins de vingt centimètres de mon genou gauche… J’avais chaud, d’un coup. Ce magnifique fessier à portée de main, le fait qu’elle n’arrêtait ...
... pas de me faire des remontrances, sa robe soigneusement dégrafée… J’hésitais… Tout en fouillant la boîte d’archives, elle se tortillait de droite à gauche, et je contemplais son magnifique cul, qui semblait m’appeler… Le cœur à 200, je fis tourner le fauteuil pour être bien derrière elle puis, prenant mon courage à deux mains et me penchant vers elle, je lui saisis les fesses. Le temps sembla se figer… Elle ne bougeait plus, moi non plus. J’avais une main sur chacune de ses fesses, et j’attendais plus ou moins qu’elle se retourne et… m’en retourne une dans la figure. Vu qu’elle ne bougeait toujours pas et ne disait rien (ce qui était rare), le cœur à 250 maintenant, j’entrepris de remonter doucement sa robe vers le haut. Elle cambra encore plus ses reins… Je quittais le fauteuil, et me mis à genoux derrière elle. Sa robe était maintenant sur ses reins, j’avais une vue plongeante sur ses fesses, et la petite sangle noire du string qui les séparait. Je lui malaxai les fesses, qui étaient vraiment à mon goût. Mon pouce glissa de haut en bas dans sa raie, le long du string, j’appuyai au passage sur son petit trou, puis commençai des va-et-vient sur son clitoris. — Olivier, fermez la porte à clé, s’il vous plaît. Tiens, plus de remontrance ? Je me relevai, fis demi-tour, et je donnai un tour de clé. Nous étions tous les deux enfermés dans ce petit local, avec ce grand bureau de verre. Je repris ma place, tout en lui mettant une main sur la chatte et en la masturbant à travers le ...