1. Au service (pas st secret) de Madame (5)


    Datte: 12/03/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... fessait avec la même force que mes mains, en se masturbant de l’autre. Je me branlais aussi et nous avons jouis ensemble pour notre plus grand des plaisirs. Madame me fit encore l’aveu de son amour pour son esclave et m’embrassa encore et encore avec la tendresse qui caractérise Madame. Il était temps que je prépare Madame à sortir pour la vente. Une fois prête, sur son trente et un, sublime Madame, elle m’habillait d’une de ses robes fendues et ouverte à souhait. Entre mes cuisses, je fixais la courte laisse. Madame me sourit quand je lui tendais l’extrémité. Elle posa délicatement sa bouche sur mon cou, tel le papillon se posant sur le fragile coquelicot. Elle se baissait, enfilait une ravissante paire de ses chaussures à mes pieds en me les embrassant. J’avais de la peine à reconnaitre Madame depuis l’incident du parking. Cependant, ce n’était pas pour me déplaire, je donnerais ma vie pour Madame. Assise devant, près de Madame, j’écarte sa robe de paillette pour mieux caresser ma Maîtresse. Une fois la vitesse réglée, elle pose son pied nu sur son siège en me souriant et plongeant sa main merveilleusement entre mes cuisses offertes. D’une main, je la branle, de l’autre, je masse chacun de ses seins. Elle jouit à presque perdre la maitrise de l’automobile. C’est à peine si je parviens à l’aider à redresser. Nous étions blanches de peur, elle s’arrête. Furieuse de ce qui aurait pu arriver, elle m’interdit de la caresser à l’avenir. Consciente du risque, elle n’avait pas ...
    ... besoin de me le dire, j’avais déjà compris. Cependant, je me suis allongée sur le capot en la suppliant de me cravacher durement ce qu’elle fit pour se calmer. Enfonçant le manche de sa cravache dans mon cul, elle m’entendit hurler : — Soyez encore plus sévère Madame, beaucoup plus sévère. En arrivant chez le ministre, elle me tenait par la laisse. D’une main savamment glissée sous ma robe, elle caressait mes fesses endolories. Dans un recoin discret, elle m’embrassait tendrement dans le cou avant de gagner la salle de vente. Une esclave du ministère vint s’enquérir sur le choix de Madame sur cette asiatique. Madame sembla furieuse d’apprendre qu’un autre avait eu l’outrecuidance de miser aussi. L’esclave lui montrait l’homme, un homme somme toute assez commun, sans prestance. Aussi, elle m’envoya auprès de cet homme le troubler par quelques caresses buccales sur son corps. Je ne me fis pas prier pour exécuter cet ordre. Comme Madame, je désirais aussi que cette esclave nous rejoigne. La vente commençait, l’asiatique était le quatrième lot. Dès le second lot, un homme, je mis le plan de Madame à exécution. L’homme ne refusa pas mes attentions, une négresse au crâne fraichement rasé qui vient lui sucer sa queue, une queue que je trouvais ridiculement petite et fine, sentant mauvais qui plus est. Au moment du quatrième lot, l’homme était sur le point de jouir et jouissait au moment où Madame leva son bras. J’aveuglais l’homme en l’embrassant copieusement et Madame remportait ...
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