La rééducation à la Cité des Plaisirs - Histoires de Sexe

La rééducation à la Cité des Plaisirs

... elle est vierge. Maladroit mais surexcité par les pulsions de l’objet qui délivrait une onde de plaisir toutes les trois secondes, Paul s’enfonça dans la chatte de Lisa qui, malgré la bonne volonté manifestée par le jeune homme, ne parvint pas à jouir. Elle se mit même à pleurer. Le docteur Carole S. saisit un mouchoir en papier pour lui essuyer les yeux. — Ce n’est rien ma belle. Te voilà maintenant en conformité avec la loi de la Cité des Plaisirs. Cependant, je ne peux pas te laisser repartir sans que tu aies joui avec une queue. Paul n’est peut-être pas la bonne personne… Sur ces mots, le docteur congédia le jeune homme, puis saisit son téléphone. — Marc ? Tu peux faire un saut jusqu’à mon bureau ? Oui, c’est urgent ! Elle se tourna vers Lisa qu’elle avait libérée de ses entraves et du plug et lui lança un peignoir. La porte s’ouvrit à la volée. — Ça va pas d’entrer comme ça ?— Tu me dis que c’est urgent, alors j’accours ma chérie ! Marc, cinquante-cinq ans, présentait un léger embonpoint. Il était follement amoureux du docteur Carole S. qui ne partageait pas son sentiment. Elle savait néanmoins, pour l’avoir souvent vérifié, que c’était un amant exceptionnel. Il n’était pas beau, il utilisait souvent un vocabulaire ordurier, il ne savait pas se comporter en société… Mais lorsqu’elle avait envie d’être baisée, très bien et très longtemps, c’est lui qu’elle appelait. Amoureux, il était constamment disponible pour elle et il ne pouvait pas concevoir qu’elle ne l’aimât ...

... pas en lui demandant de la sauter si souvent. Il allait la gratifier de quelques grivoiseries lorsqu’il aperçut Lisa. — Qu’est ce qui se passe ? Le docteur parla de la virginité de Lisa, de l’intervention de Paul, et de l’absence d’orgasme. — Ben c’est normal qu’elle n’ait pas joui cette belle enfant. Quand on se fait dépuceler, ça peut faire un peu mal et on ne pense pas au plaisir ! Le docteur lui coupa la parole. — Donc j’aimerais que tu lui prouves qu’elle peut avoir du plaisir.— À vos ordres. Mais…— Mais quoi ?— Ben j’aimerais bien… Tu sais que ça m’excite ! Le docteur Carole S. soupira. Elle s’allongea sur le sol et releva sa robe. Marc plongea aussitôt la tête entre ses cuisses et se redressa fréquemment pour déclarer tout de go : — Putain que c’est bon. T’as une chatte d’enfer ! Le docteur n’aimait pas beaucoup ses débordements, mais sa langue était si bonne… Et ça durait si longtemps. Elle jouit deux fois avant que Marc ne l’abandonne. Carole S. se releva. — Tu veux la prendre comment ?— En levrette, je pourrai mieux régler les mouvements. Le docteur se tourna vers Lisa. — Approche. Enlève ce peignoir et mets-toi en position. Tu sais ce que c’est une levrette ?— Oui docteur.— Parfait ! Maintenant à quatre pattes, Lisa ferma les yeux. Elle sentit le sexe de Marc appuyer à l’entrée de son vagin. Il lui sembla plus épais que celui de Paul. Plus épais, plus volumineux, mais la sensation était meilleure. Peut-être tout à l’heure était-elle trop crispée, car à présent, le ...