1. Poulets barbus et autres esthétismes


    Datte: 14/03/2019, Catégories: fffh, uniforme, grosseins, entreseins, pénétratio, humour, fantastiqu, fantastiq,

    ... fassions l’amour, mais j’en suis parfaitement incapable ; seulement, elle met Bazouk à contribution, et celui-ci m’octroie une érection fantastique, qui continue même après nos ébats. Je finis la nuit avec Pandore et Azura. Il était presque onze heures lorsque j’émergeai enfin. J’avais enculé Azura et Pandore jusqu’à ce qu’elles aient eu toutes les deux mal au derrière, à plus de huit heures et demie, et puis nous étions allés tous rejoindre Aurélie dans son lit. On y avait été un peu à l’étroit, à quatre, mais on était parvenu à dormir quand même un peu, sous la bienveillante protection de Bazouk, que je n’avais pas eu le cœur de condamner à rentrer dans sa théière. J’avais toujours une gaule de furieux en me réveillant, ce qui amusa beaucoup Aurélie. C’était curieux, je bandais comme jamais, mais j’avais vraiment plus du tout envie de sexe, et je commençais même à avoir vraiment mal. Bazouk s’étonna ; d’après lui, l’effet aurait déjà dû se dissiper. Je l’insultai rapidement, puis me levai et sautai dans mes fringues. J’allai jusqu’à la cuisine, boire un demi-litre de café froid qui traînait. La vieille ronflait toujours à bloc, horriblement. On se prépara pour lever le camp, direction chez moi. J’avais peur qu’Aurélie soit difficile à convaincre d’abandonner sa mère et son appart, mais elle me répéta qu’elle me suivrait, qu’elle nous suivrait jusqu’au bout du monde, les filles et moi. Azura et Pandore revêtirent leurs lingeries, leurs jeans et leurs sous-pulls moulants ...
    ... qu’on avait achetés la veille, et prirent leurs sacs de fringues ; Aurélie empaqueta quelques affaires ; je mis en sac les billets verts qui traînaient dans le salon. On prit aussi une salière pleine et le vieil appareil d’Aurélie avec son gros flash, pour pouvoir se faire obéir de Bazouk. Et après avoir laissé un mot d’adieu à la mémère, nous descendîmes enfin jusqu’au garage, où je demandai à mon génie de nous recréer son fantastique coupé sombre, avant de l’obliger à rentrer dans sa théière. Je roulai à fond à travers les routes de campagne (conduire avec la gaule fut toutefois assez curieux…), et nous fûmes chez moi en à peine vingt minutes. Mais en arrivant, je constatai avec un mélange de curiosité et d’appréhension qu’une camionnette de flics était garée devant la maison. Je parquai la voiture, nous entrâmes dans le terrain, et je réalisai qu’il s’agissait toujours des gendarmes de la veille, ceux qu’on avait laissés endormis sur la table de jardin. Ils ronflaient toujours. Les sorts de Bazouk qu’étaient censés être de courte durée déconnaient vraiment ! Je pensais à ma pauvre bite, toujours raide comme du béton… On entra tranquillement dans la maison, faisant comme si les fonctionnaires n’étaient pas là. Je commençai par réveiller Bazouk pour qu’il nous prépare à grailler. Il avait prétendu la veille être un excellent cuisinier, on allait pouvoir vérifier ça… _ Que voulez-vous déjeuner ? s’enquit-il. _ Ce que tu veux, du moment que ça se mange… _ Je vais vous préparer un ...
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