Poulets barbus et autres esthétismes
Datte: 14/03/2019,
Catégories:
fffh,
uniforme,
grosseins,
entreseins,
pénétratio,
humour,
fantastiqu,
fantastiq,
... ! fit soudain la voix de Bazouk. Oh non ! _ Les mains en l’air ! Plus un geste ! hurla l’un des policiers. Aurélie poussa un grand hurlement qui n’avait plus rien de chiqué. Le flic avait dû sortir son arme et la pointait sans doute vers mon génie. Il y eut un court silence puis trois coups de feu retentirent et un nouveau hurlement strident. _ Guftiiii ! cria Aurélie la voix à demi mêlée de larmes. Je t’en supplie, viens vite ! Tandis que je courais la rejoindre, j’entendis encore : _ Ah ! Vous reconnaissez donc nous avoir mentis ? J’arrivai sur le palier en tenant serrée devant ma bite une fringue que j’avais chopée au vol. Il y avait deux flics qui me jetèrent un drôle de regard ; Aurélie presque en pleurs tremblait sans oser bouger ; juste sur le pas de la porte, la théière de Bazouk gisait tournoyant encore, tandis qu’au-dessus, sur le linteau, se voyaient très nettement les marques des coups de feu. _ Mais nous vous pardonnons, vous êtes tellement belle… continua un des policiers en lançant à Aurélie un regard passionné. _ Les mains en l’air ! m’ordonna l’autre, avant de tirer Aurélie par le bras en ajoutant : venez, mademoiselle, nous allons vous protéger de ce démon… N’importe quoi ! _ Gufti ! cria encore Aurélie. Fais quelque chose ! Ne me laisse pas ! _ Les mains en l’air ! hurla encore l’autre en me menaçant avec son flingue. Je levai la droite, mais gardai la gauche pour tenir le tee-shirt qui cachait ma bite toujours tendue. _ L’autre ! Levez l’autre aussi ! _ ...
... Mais je peux pas ! _ Venez dans mes bras, mademoiselle, vous ne craignez plus rien, vous êtes en sécurité avec moi… Oh merde ! L’autre crétin avait eu le temps de balancer son désormais fameux sort d’apaisement avant de disparaître dans sa théière au moment où il aurait été le plus utile. Et naturellement, Aurélie se débattait. _ L’autre ou je tire ! Ne voulant tout de même pas me prendre une balle, je levai finalement l’autre main, prenant juste le temps de coincer le tee-shirt sur ma bite pour qu’il tienne tout seul, ce qui décontenança tout de même quelque peu les deux policiers. Aurélie profita de leur moment de surprise pour venir se jeter dans mes bras. _ Oh non ! Mademoiselle ! Je vous en supplie, revenez ! gémit l’un des flics en mettant un genou à terre. Pour vous, je ferai n’importe quoi ! Je quitterai même la police si vous me le demandez ! L’autre, celui qui me braquait, baissa son arme et tenta également sa chance : _ Mademoiselle, mon cœur et mon corps vous appartiennent ! Je vous serai dévoué à jamais ! Aurélie les regarda avec une drôle de tête et moi, je ne pus m’empêcher de pouffer. Mais l’autre andouille releva son arme et me gueula : _ Et vous silence ! Vous êtes notre prisonnier ! Lâchez-la immédiatement ! _ Mais je ne la tiens même pas, protestai-je, j’ai les mains bien levées ! _ C’est juste… Alors écartez-vous d’elle ! Vous voyez bien que vous lui faites peur ! _ Mais c’est vous qui me faites peur, avec votre flingue ! cria Aurélie. Le flic s’empourpra ...