1. Hélène (16)


    Datte: 15/03/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Hélène 16 : Le meuble anglais. Après la machine, notre relation avait repris son train-train quotidien, fait de tendresse et de câlins. Puis un samedi matin, après que mon chéri m’ait déposée au magasin. — Hélène, je retourne en vitesse à la maison, j’attends un livreur, je viendrai te reprendre, mais comme je ne sais pas à quelle heure il passe, je serais peut-être en retard. Mais je passe te chercher, c’est promis. — Un livreur, mais de quoi. — T’inquiète, ça te plaira. — Dis-moi, ne me fais pas languir. — Tara tata, tu veux tout savoir et rien payer. — Je suis prête à payer, et de ma personne, en plus. Fais-je en me collant à lui. — N’essaye même pas ! Je saurai résister à tes charmes. Fait-il en me posant un baiser sur les lèvres et en tournant les talons. La matinée passe lentement. Enfin, je vois le 4X4 de Pierre se garer devant la mercerie. Il ouvre la portière. Je ferme la boutique à toute vitesse. Et je saute dans sa voiture. — Tu es bien pressée ! — Le livreur est passé. — Oui, ça va te plaire. Fait-il en embrayant. À peine dans la voie de la maison, je descends en vitesse. — C’est où ? — Dans notre chambre, près du dressing. Je grimpe les escaliers sans oublier d’onduler du croupion sous son nez, histoire de le chauffer un peu. Un meuble « étrange » est installé au bout de notre lit, dans le vaste espace le séparant du mur et des fenêtres. La partie basse est un large robuste piétement à trois pieds comme celui d’un guéridon, se rassemblant sur un court cylindre ...
    ... chantourné. Sur ce cylindre repose une sorte de chevalet en bois ciré recouvert de cuir rouge. Cette partie horizontale s’amincit et se relève en une élégante courbure qui supporte un té horizontal d’une dizaine de centimètres creusé légèrement en son milieu, et munie à chaque extrémité d’une sangle et de la boucle « ad hoc ». A l’autre bout du chevalet, la partie plus large s’incurve légèrement vers le haut. Cinquante centimètres plus bas, une traverse d’environ la même longueur, reprise sous le corps principal supporte deux jeux de courroies. — C’est quoi ? fais-je perplexe. — C’est un meuble d’exposition, d’époque victorienne. — Tu accroches des tableaux dessus ? — Non, une femme, c’est un meuble anglais pour exposer une femme. Ça date de la reine Victoria, un Lord pouvait s’en servir pour sa Lady Je reste silencieuse, je ne comprends pas ce qu’il me raconte. Puis d’un coup, la lumière se fait, je comprends. — Pierre, ça sent le brulé en bas, va voir. — Je ne sens rien, mais je vais couper la plaque de cuisson. Je l’entends descendre l’escalier. Je m’installe dans le sens de la longueur, sur le chevalet, mon bassin et mon petit bedon sur la partie large. Mais ma jupe étroite me gêne, je me relève et je me trousse. Je me replace, j’écarte mes jambes jusqu’ à ce qu’elles se trouvent entre les sangles. Mes seins se positionnent naturellement de chaque côté de l’élancement central. Je dégrafe les boutons de mon chemisier. La pièce de bois s’insinue entre mes seins, au contact de ...
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