1. Massages japonais.


    Datte: 15/03/2019, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    (souvenirs des années 80 retranscrits en 03.2010). Quand le stress du boulot est trop intense, j’ai pris l’habitude en fin de journée d’aller me faire masser dans un établissement situé dans le quartier de l’Opéra une semaine sur deux. L’avantage de cette localisation et le confort des installations modernes me l’ont fait choisir plus qu’un autre plus proche de mon job ou de mon domicile. Dès l’entrée on est accueilli dans un hall meublé de profonds fauteuils disséminés au milieu de grandes plantes vertes et de bambous en pots. L’hôtesse est assise derrière un comptoir d’où elle peut surveiller sur des mini écrans de télévision ce qui se passe dans les salons de massage afin de savoir qui va être disponible pour les clients suivants qui n’ont pas de masseuse ou de masseur attitrés. Au début c’était mon cas puis avec l’habitude, c’est Sylvie que je demandais en prenant mon rendez vous. Pratiquement à chaque fois, elle était disponible à l’horaire demandé. Si elle ne l’était pas, je décalais mon heure de façon à ce que ce soit elle qui me masse. La dernière fois, il y a eu un imprévu qui a empêché Sylvie d’honorer le planning et j’ai du choisir Fleur, une autre masseuse qui se trouvait disponible. Je ne l’avais jamais vue auparavant et j’ai été surpris de découvrir une asiatique, en fait une japonaise. Elle n’avait pas la silhouette habituelle de ses compatriotes, grande et mince, les cheveux courts teintés de reflets roux, elle portait sa blouse de travail très ajustée sur ...
    ... son corps. On distinguait une paire de seins menus retenus par son soutien gorge. La ceinture très serrée à la taille en faisait ressortir sa minceur et les hanches qui s’élargissaient au dessous. En nous dirigeant vers le salon, Fleur m’expliqua en anglais que son prénom en japonais signifiait «Fleur de lotus» et qu’elle n’était là que depuis quelques semaines. Elle venait des Etats unis pour apprendre le français tout en travaillant. Elle m’offrit de me faire découvrir les massages japonais traditionnels, du moins, ce que permettaient les installations françaises. J’en avais entendu parler mais je ne savais pas exactement ce que cela recouvrait. Une fois déshabillé dans le salon, elle-même fit glisser mon boxer et le remplaça par une serviette en tissu de coton nouée comme un pagne autour de ma taille. Nous nous sommes dirigés vers le fond de l’établissement et entrés dans un ensemble de pièces au sol en marbre gris, les murs totalement recouverts de carrelages avec de nombreux miroirs. Dans l’une il y avait la table de massages classique, dans une autre il y avait un grand bassin rond d’eau bleue et diverses installations de jets et accessoires. Ayant troqué mon boxer pour une sorte de pagne, Fleur m’invita alors à me plonger dans le bassin circulaire et de m’y relaxer en l’attendant. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je l’ai vue revenir simplement vêtue d’un bikini des plus réduits (en fait ce qu’elle portait sous sa tunique) et se glisser dans le bassin avec moi… Avec ...
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