1. Baby-sitting


    Datte: 15/03/2019, Catégories: Transexuels

    ... j'ôtai celle-ci pour attacher le porte-jarretelles avant d'enfiler (par-dessus les attaches, comme il se doit) le petit string dont ma verge tendue dépassait outrageusement. J'enfilai ensuite les bas, les agrafai en haut de mes cuisses et rembourrai le soutien-gorge avec deux petites culottes. J'avais envie de remettre l'ensemble mini-jupe et spencer en cuir rouge que j'avais tant apprécié deux jours plus tôt. Je complétais ma tenue en enfilant les bottes blanches. Je retournai contempler mon image dans le grand miroir. Je tendis mes jambes, cambrai le dos et sortis de sous la jupe ma verge tendue : je bandais "comme un taureau". Je voulais malgré tout maîtriser mon excitation, faire durer la vague de plaisir qui m'envahissait. Je me masturbai lentement, et je finis par éjaculer dans les mouchoirs en papier. Je m'essuyai soigneusement afin de ne pas tacher la doublure, car même en débandant un peu, mon sexe avait beaucoup de mal à tenir tout entier sous le petit triangle du string! La jupe était vraiment très courte : le seul fait de me pencher en avant dévoilait presque mes fesses! Je prenais aussi plaisir à me baisser, genoux serrés. Je passais ainsi une heure à bouger "comme une femme". Revenu devant la penderie, je choisis de mettre les bottes noires à talons aiguilles qu'elle avait porté l'avant-veille. En fait, j'eus envie de finir la soirée vêtu des habits qu'elle portait le "premier soir". Avant de décrocher la jupe en cuir grise qui me faisait de l'œil sur son ...
    ... cintre, je me retournai un instant vers le miroir. Ce n'était pas par esprit de narcissisme, c'était plutôt pour constater de visu la féminité que j'étais capable de dégager. Les bas noirs brillaient et faisaient ressortir le rouge vif de la mini-jupe. Je la remplaçai par la jupe longue en cuir gris et mis sur mon bras le maxi en cuir dans les poches duquel je trouvai une paire de gants noirs en chevreau. Je revins fouiller dans la panière à linge et en sortis le chemisier de soie. Machinalement, je reniflai sous les manches pour y retrouver son odeur. En me regardant à nouveau, j'avais l'impression que je devenais vraiment Ghislaine, du moins tant que je ne regardais pas mon visage! Je retournai dans le salon, profitant à chaque seconde de l'émoi que provoquaient en moi la marche sur les hauts talons, la douceur du frottement de la jupe sur les bas et l'odeur de son parfum accrochée aux vêtements. Les talons aiguille associés à la jupe serrée jusqu'aux genoux m'obligeaient à faire de petits pas. C'était là aussi une sensation à laquelle je n'étais pas habitué, mais qui contribuait à maintenir au plus haut mon degré d'excitation. Je me forçai malgré tout à faire durer le plaisir et je résistai à la tentation de me branler à nouveau. Ne négligeant pas (malgré tout) la raison première de ma présence, je jetai un œil par la porte de la chambre de l'enfant pour m'assurer que tout allait bien. Je ramassai mes propres habits que j'avais jeté en vrac dans la salle de bain et les posai sur ...
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