1. Baby-sitting


    Datte: 15/03/2019, Catégories: Transexuels

    ... Moi, je termine à 17 heures le vendredi. Bien, alors disons vers 18 heures chez vous, ça va? Ca va pour l'heure, mais ça me gêne pour l'argent. Pas moi. Elle me régla "les frais de garde" en y incluant même la demi-heure passée à boire le café et je rentrai chez moi, repensant à cette soirée extraordinaire au sens étymologique du mot! J'étais ravi à l'idée de retourner chez elle, en fait, j'aurais fait n'importe quoi pour la revoir. Seul dans mon lit, j'essayai de trouver quel prétexte me permettrait de mettre à nouveau ses vêtements. Le vendredi, je me présentai à l'heure dite avec deux disquettes dans une main et un bouquet dans l'autre. Sa surprise provoqua une réaction aussi spontanée qu'inattendue : elle me fit la bise en disant "C'est trop gentil, merci beaucoup, mais vous n'auriez pas dû!". Je n'osai pas lui répondre que le contact de sa joue sur la mienne valait largement quelques fleurs! Elle s'effaça pour me laisser entrer et me demanda si je préférais boire un café ou un apéritif. "Comme vous" lui répondis-je en pénétrant dans le salon. Pendant que j'allumai l'ordinateur, elle revint avec deux verres et des amuse-gueule posés sur un plateau. Elle portait les boots noirs, ceux qui avaient le moins de talons. Elle était vêtue de son jean en cuir et d'un pull rose très court qui laissait voir son nombril. Le pantalon la moulait, soulignant ses hanches et mettant en valeur ce qu'il est convenu d'appeler "un cul de reine"! Elle vint s'asseoir à mes cotés devant le ...
    ... micro. Pendant qu'elle exécutait devant moi la manipulation qui provoquait le plantage, je réussis à effleurer un court instant son genou. J'avais un mal de chien à me concentrer pour analyser le problème, j'avais envie de la prendre dans mes bras, de caresser tout son corps. Heureusement pour moi, il s'agissait d'un problème à la fois mineur et connu, et je pus le corriger rapidement à l'aide d'une des disquettes. C'est sûr que globalement, il marchait quand même, mais ça plante toujours au mauvais moment ces engins là! Vraiment, je ne sais pas comment vous remercier! Ecoutez, il y aurait bien quelque chose, mais je ne sais pas si je peux... Je vous en prie, dites. Et bien, voilà, vous me refaites la bise et on est quitte! D'accord? D'accord. Elle sourit et se pencha vers moi. Elle ne me fit pas une bise "à la sauvette", non, elle posa délicatement ses lèvres sur mes joues à quatre reprises. Tout en sirotant nos verres, nous parlâmes de choses et d'autres. Elle m'expliqua qu'elle était divorcée depuis un an, qu'elle travaillait dans une maison d'édition, mais qu'elle avait parfois du mal à concilier ses exigences professionnelles avec son "job de maman". C'est à ce moment que le téléphone se mit à sonner. Elle décrocha le combiné et son visage s'éclaira lorsqu'elle reconnut son interlocuteur. Puis je la vis se renfrogner en répondant : Ce soir? Merde! Non, je suis désolée, ce n'est pas possible... ... Tu sais, avec mon fils, je ne peux pas me libérer comme ça. ... Mais non, c'est ...
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