Histoire de soumission (2)
Datte: 16/03/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
En rentrant chez moi, je prends soudain conscience de l’énormité du geste que je viens de faire en donnant les clefs de la cage de chasteté à Vanessa. Jusqu’à ce jour, je pouvais enlever la cage quand je voulais et faire ma toilette, allez pisser ou toutes autres actions intimes sans la cage. Maintenant, je vais devoir passer une semaine en la gardant et en faisant tout avec. Sauf me branler. Et pourtant, ce cunnilingus était une énorme raison de me branler en rentrant chez moi. Mon premier sexe féminin vu de si près. Une ravissante chatte que j’ai léchée et j’ai adoré son goût. Je rentre chez moi, plongé dans mes pensées. Je monte directement dans ma chambre répondant à peine aux questions de mes parents. Une fois la porte fermée, je baisse mon pantalons et je regarde mon entre-jambe encagé. Je n’en reviens toujours pas d’avoir accepté sans savoir à quoi je m’engageais. Mes parents m’appellent pour le repas et me demandent si ça va, je dois avoir une drôle de tête. Après le repas, première épreuve, je dois aller auxtoilettes. Les autres fois, j’ouvrais l’attirail et j’allais pisser. Là, plus le choix, je dois faire avec. Je teste debout, mais avec les barres de métal dans tous les sens, ce n’est pas facile. Je dois donc pisser assis. Ça va faire plaisir aux filles et à ma mère si je dois m’asseoir. Non seulement je n’oublierai plus la lunette levée, mais en plus, je n’en mettrai plus à côté. Un des principaux reproches que font les femmes aux hommes. Ensuite, passage obligé ...
... au lavabo, pour rincer le tout et éviter les odeurs gênantes. Tout se passe bien. La nuit se passe bien aussi, j’avais déjà gardé la cage certaines nuits. Le lendemain, la douche est une nouvelle épreuve, il faut passer entre les barreaux de la cage pour laver la queue, puis sécher le tout. Les jours suivants se passent de la même façon : apprentissage de la vie avec mon oiseau en cage. Plus de possibilité de me branler et de fantasmer sur les jolies filles, sinon la cage me rappelle à l’ordre dès que mon sexe gonfle un peu trop. Je ne dois pas bander. J’ai acheté des lingettes pour bébé afin de pouvoir me nettoyer où que je sois. Le jeudi soir, le téléphone sonne peu de temps après le repas. Ma mère m’appelle et me dit que c’est pour moi, c’est unejeune femme nommée Vanessa. Ils ne savent toujours pas que j’ai changé de thérapeute, il faut vite que je trouve une excuse pour dire qui elle est. J’invente qu’elle est stagiaire et qu’elle devait m’appeler pour son mémoire. Et que j’avais oublié de prévenir que j’attendais son appel. Je prends le téléphone sans fil et je monte dans ma chambre. Vanessa, ayant entendu mon excuse pour son appel joue le jeu. Elle me pose quelques questions anodines pour éviter que si mes parents écoutent, ils sachent de quoi il s’agit. A mots couverts, je lui réponds que tout se passe pour le mieux et que nous nous reverrons lundi. Le lundi suivant, elle m’attend encore dans l’entrée, toujours aussi belle. Cette fois, elle ne va pas dans son cabinet ...