L'amour, c'est parfois du sport
Datte: 18/08/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... puissance physique et non une petite minette craignant de se faire couper en deux, il n'allait pas ménager son ardeur. Fabienne ripostait de toute la vigueur de ses hanches, levant le cul du lit avec facilité, ripant le dos de son amant de ses talons et suprême raffinement, parvenant à lui mettre un doigt dans l'anus, ce qui faillit faire éjaculer prématurément l'Américain. Comprenant qu'il avait affaire à une dévoreuse et qu'il fallait d'abord durer, il se retira, quitte à s'attirer un reproche véhément. Mais il rassura sa partenaire en lui proposant d'autres variantes que le lit, histoire de récupérer un peu et de faire durer le plaisir... ****** Le couple opta d'abord pour le canapé sur lequel Fabienne se posa à genoux, cul en l'air, et Ronald l'enfila en levrette. Il la laissa habilement venir à lui et imposer son propre rythme, ses propres rotations, son propre plaisir. "Voilà au moins une femme qui baise, qui baise vraiment", se disait Ronald, enchanté de sa bonne fortune et de sa nouvelle conquête. Puis il lui offrit sa bite en s'asseyant dans le canapé et elle vint s'empaler sur lui en lui mettant ses nichons dans le nez, toujours ardente de la croupe. Ronald se sentait hyper dur, infatigable, impression qu'il savait trompeuse mais dont il savourait le moment. Puis elle se releva, le prit par la main et l'entraina dans la cuisine : - J'adore me faire prendre sur une table, lui dit-elle en s'étalant, cuisses ouvertes et coudes posés sur le meuble. La chatte de ...
... Fabienne était juste à la hauteur de la bite de Ronald et il s'enfonça en elle d'une seule poussée en lui tenant les cuisses. Une cavalcade s'ensuivit qui fit déplacer la table dans la cuisine jusqu'à l'évier où elle se bloqua. Ronald put alors asséner de virulents coups de reins qui auraient démantibulé une carcasse moins robuste que celle de l'athlétique Fabienne. Entre deux exclamations de plaisir, celle-ci lâcha : - Tu vas me faire mourir ! Il y avait beau temps qu'elle n'avait pas eu entre les cuisses un amant aussi viril. Et elle entendait en profiter le plus longtemps possible. C'est pourquoi elle l'attira à nouveau vers le lit en le tenant par la queue. Pas question de le laisser débander. Sur le lit, elle lui imposa un 69 et tandis que Ronald léchait sa vulve saturée de cyprine, elle le débarrassa de sa capote pour se gaver du gland survitaminé qui la faisait tant jouir. Elle en explora les moindres contours, les moindres replis, d'une langue si adroite que l'homme sursautait parfois. Elle s'interrompit juste quelques secondes pour lâcher un couinement strident quand son lécheur découvrit une zone particulièrement sensible de son intimité. Et recommença à sucer et à pomper inlassablement. A la nervosité de Ronald, elle sentit que son instinct de mâle réclamait maintenant un nouvel assaut, cette fois sans doute décisif. Mais elle le voulait à sa merci. Allongée à ses côtés, elle aurait pu s'empaler à nouveau, virevolter des hanches et l'emmener vers l'orgasme. Au lieu de ...