1. Une journée au paradis.


    Datte: 16/03/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... m’aider dans mes dominations et j’ai décidé de t’offrir à Elle comme cobaye dans le cadre de Sa formation. ». Bras dessus, bras dessous, elles se regardent tendrement avant de se rouler une pelle qui contribuera certainement au réchauffement de la planète tout autant qu’à celui de ma bite qui n’arrête plus de se dresser ! Saphir s’approche de moi, commence à exciter les différents endroits pourvus d’aiguilles. Ses mains me transmettent comme des ondes électriques qui me font entrer en transe. Et ce n’est qu’un début puisqu’Elle libère ensuite un sein magnifique dont elle m’oblige à exciter le téton de ma langue. Tout cela sous le regard attendri de ses deux complices. Comme elle semble manifester un certain plaisir à la situation, Tana est obligée de l’interrompre : « Ton plaisir, c’est très bien ma chérie, mais pour qu’il soit complet, il faut qu’il aille de pair avec la frustration de ton soumis. Et là, même s’il rêve certainement d’autre chose, j’ai l’impression qu’il jouit un peu trop de la situation. » Elle lui présente alors un gode ceinture dont Elle se harnache aussitôt. Elle se met en place et n’a aucun mal à me défoncer tant le chemin a été préparé depuis ce matin par ses deux collègues. Son coup de rein témoigne déjà d’une bonne expérience et je prédis le plus bel avenir à cette future domina. C’est vrai que comme initiatrices, elle ne pouvait pas mieux tomber ! Lady Tana s’approche d’Elle et, tout en lui roulant un nouveau patin, lui tend deux bougies qu’elle ...
    ... avait discrètement allumées. « Tiens, amuse-toi. Les seins, les couilles, la bite et le cul. » Et je sens immédiatement la chaude morsure de la cire envahir ces différents endroits, pour mon plus grand bonheur. La tension de ma queue en atteste. Je remercie ces trois Déesses avec presque des larmes aux yeux et Leur dit que, si cela continue, je vais bientôt jouir. « On ne te le conseille pas ma petite pute » me dit Tana. « D’abord, cela nous contrarierait souverainement, pour le principe, car c’est nous qui détenons les clés de la jouissance de nos soumis, mais de plus, nous nous serions démenées pour rien car tu n’aurais pas été au bout des surprises que nous t’avons préparées. » « Comment, me dis-je, je ne suis pas au bout de mes découvertes ? » Si le paradis existe, il doit ressembler à cette journée. « Aller, ça suffit pour maintenant, on va te détacher et tu vas pouvoir récupérer un peu en admirant le spectacle ! » Mais de quoi parlent-Elles encore ? Que me réserve encore cette incroyable journée ? Elles me libèrent après m’avoir enlevé les aiguilles et tamponné les différentes gouttes de sang apparentes avec du désinfectant. Je me relève manquant perdre l’équilibre tant tout ce qu’Elles me font vivre me met dans un état second. Maîtresse Tana me tend un sandwich et une cannette de Coca. « Reprends des forces, on n’en a pas encore fini avec toi. Quand tu te seras sustenté, tu te mettras sous le treuil et tu saisiras les deux poignées qui en pendent jusqu’à notre retour. » ...
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