1. Enfin elle a cédé (2)


    Datte: 17/03/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... bras en soupirant. C’était gagné. Elle s’est vite retrouvée en dessous, caressée partout par nos quatre mains, haletante et consentante. Nos doigts l’exploraient sans ménagement et Henri m’a fait signe qu’il était temps que je l’entraîne dans la chambre, nous étions convenus, pour la mettre en confiance, que je démarrerai une séance habituelle. Elle m’a suivi sans résistance et s’est laissé dénuder et lier les poignets en gémissant. Henri nous a alors rejoints et elle a à peine sursauté quand il est entré. Sa voix avait changé, plus dure, plus dominante. Alors on va pouvoir s’occuper de cette petite salope, tu vas déjà lui rougir un peu le cul. Je ne me fais pas prier et lui assène quelques coups de ceinture assez appuyés qui la font crier assez fort. Henri me dit alors avoir horreur des cris et il roule en boule la culotte de ma femme, puis lui prenant les cheveux pour lui relever la tête il lui fourre dans la bouche et, voyant un collant sur la table de nuit, il lui attache autour de la tête pour la bâillonner efficacement. La voir ainsi, poignets liés, bâillonnée, à notre merci me donne une érection presque douloureuse, hé bien me dit Henri, je vois qu’il faut que tu lui prennes ce petit cul, il vaut mieux que tu me la prépares. Il ouvre sa braguette et sort un sexe effectivement plus conséquent que le mien en longueur et en épaisseur, j’avoue être impressionné. On lui glisse un oreiller sous le ventre pour plus de facilité et mon sexe dur enduit de gel lui force l’anus ...
    ... sans trop de difficulté. Je jouis assez vite trop excité par la situation et me retire, elle a encore le petit trou ouvert quand Henri, après avoir enfilé un préservatif pose son gros gland sur le trou ouvert par mes soins et la pénètre d’une poussée lente mais jusqu’à ce que ses couilles lui frappent les fesses. Il se déchaîne alors et l’encule longuement, on entend ses cris étouffés par le bâillon et je vois la grosse queue faire des va et viens brutaux jusqu’à ce que, dans un grand soupir, Henri remplit le préservatif de sa semence et se retire, repu. Ma femme ne bouge plus, sans doute déjà assez épuisée par cette double sodomie et le volume de la queue qui vient de la dilater. Henri me fait signe, on la retourne, elle se laisse manipuler et l’on double l’oreiller sous ses reins, elle gît, offerte, sexe exposé et humide et ne referme même pas les cuisses, encore sous le choc. Henri, après s’être débarrassé de la capote sort de son sac un flacon en plastique et me dit : allez on passe aux choses sérieuses, enduis-la largement avec ce liquide, il faut qu’il pénètre bien les tissus de sa chatte, ça va lubrifier à fond, la dilater un peu et c’est légèrement anesthésiant. Je m’exécute, ma femme se laisse faire, et sous mes caresses commence même à onduler un peu du bassin, je l’enduis largement, le produit est assez liquide et transparent mais très vite je sens que mes doigts glissent tous seuls et pénètrent loin dans son sexe avec facilité. Henri, tout en m’observant, a enfilé ...