1. Corinne au 'Congo'


    Datte: 17/03/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... L'un des rares encore vaillants sur la natte, un jeune gaillard mince comme un fil, avait été émoustillé par cette plantureuse cochonne à la langue experte. Il la prit par les chevilles, les écarta et s'enfonça entre ses cuisses dodues sans même s'être présenté. Surprise mais intéressée, la quinquagénaire marqua aussitôt son accord en lui talonnant les reins et bientôt en lui griffant les fesses, allant même jusqu'à insinuer un doigt dans son anus, histoire de lui montrer qui menait la danse tant et si bien qu'après une rafale de coups de bite, le jeune homme gicla dans sa capote surmenée, offrant à Viviane une dernière salve de plaisir au moment où la plupart des femmes présentes récupéraient leurs vêtements et quittaient les lieux. Ce que les deux amies finirent par faire elles aussi alors qu'il était cinq heures du matin. ******* Dans la voiture conduite par Corinne qui les ramenait à leur domicile respectif, les deux amies commentèrent avec force détails leurs ébats récents : - Je ne m'attendais pas à ça, je croyais juste que c'était une soirée festive, je suis lessivée, commença la conductrice. - Et moi donc ! C'est plus de notre âge, des trucs pareil. - Parle pour toi. J'ai très bien tenu le choc. - Hypocrite. Avec tous les mecs que tu t'es tapée, je suis sûre que tu vas marcher en canard demain. Viviane n'avait pas tort. Lorsqu'elle rentra chez elle, la première chose que fit Corinne fut ...
    ... de prendre une douche et d'avaler un anti douleur. Le bâton de berger mettrait un certain temps à faire oublier son passage. Néanmoins, cette contrariété, du reste relative car très inférieure au plaisir qu'elle avait pris, ne fut que peu de poids face à la scène que lui infligea Christophe le lendemain au saut du lit après que sa femme se fut levée en début d'après-midi. Son mari ne comprenait pas pourquoi une soirée destinée à la danse se fut terminée aussi tard. Corinne biaisa, atermoya, justifia par la nécessité d'attendre Viviane (c'était un peu gros) et s'en sortit par un gros baiser sur la bouche. C'est alors que Christophe voulut la culbuter pour lui faire savoir qui était le mâle dans la maison. Corinne pouvait difficilement lui refuser cette privauté conjugale mais ses chairs meurtries criaient grâce. Alors, elle eut cette inspiration au moment où Christophe, après avoir libéré son dard, la débarrassait de sa mince chemise de nuit et la bloquait sur la table de la cuisine pour la prendre en levrette : - S'il te plait, encule-moi, j'ai envie de te prendre dans mon cul. C'était le privilège de Christophe, ce qu'il ne savait pas, mais stimulait toujours sa libido. Et c'est ainsi que Corinne passa une nouvelle fois en quelques heures à la casserole, sans dommage pour son déduit mais à la satisfaction totale de son époux, comblé par cette disponibilité tant il aimait les fesses de sa femme. 
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