Je suis un boudin, et j'aime le sperme… (1)
Datte: 17/03/2019,
Catégories:
Trash,
Je suis un boudin ; un gros boudin, même. Faut dire qu’avec des bras aussi gros que des cuisses, et des cuisses grosses comme… ben, j’trouve pas de comparaison. Ouais, peut-être grosses comme… comme…putain, j’trouve pas. C’est peut-être parce que j’ai pas fait beaucoup d’études. Après le certif’ (que j’ai pas eu, j’sais pas pourquoi), ouste, dans les champs à garder les vaches ! Et mon cul, vous voudriez bien savoir comment il est, mon cul, hein, bande de pervers ? Eh bien, il est gros, aussi. Plus que gros. Énorme ! Tellement énorme que je trouve pas de culottes assez grandes, alors je me balade tout le temps avec le cul à l’air sous mes robes qui laissent voir les longspoils noirs que j’ai sur les pattes. Pourtant, il en aurait bien besoin, mon gros cul, de culottes, parce que mes fesses sont tellement grasses et molles qu’elles pendent jusqu’au milieu de mes cuisses. Et mes nichons… ah, mes nichons, j’en suis pas fière du tout : ils font du 130A– –, c’est dire que j’ai pas besoin de soutif ! Ma tronche, elle n’a rien à envier au reste : des joues bouffies envahies d’acné qui encadrent un nez qui ressemble à une patate, des yeux chassieux rapprochés et qui louchent ; de plus je suis affligée d’un bec-de lièvre. Tout pour plaire, quoi ! Quand je me regarde dans la glace, je comprends pourquoi les garçons – et même les plus moches – se sont toujours détournés de moi : qui aurait envie de se taper un boudin comme moi, hein ? Un jour, j’en ai entendu deux qui ricanaient en ...
... disant « J’aimerais mieux me taper une chèvre ! » Donc, comme je le disais, pas de soutif ni de culotte pour contenir… hein, contenir ? Mais c’est que j’y tiens, moi, à mon con : c’est lui qui m’apporte les plus grands plaisirs que j’ai pu connaître. C’est tous les jours que je me branle, et même plusieurs fois, en passant mon doigt dans ma fente et en frottant mon petit bouton. Et quand la jouissance me submerge, elle m’emporte loin, très loin de mes problèmes d’apparence physique ! C’est tellement bon d’oublier tous mes complexes… N’allez pas croire que je suis une demeurée : chez nous, à la ferme, on a Internet ; et quand mes parents partent faire des courses pour la semaine au supermarché de la ville voisine, je passe tous mes samedis après-midi à me branler la chatte en regardant des trucs cochons sur Youporn. Ça me fait rêver, ces mâles avec des grosses bites qui crachent des giclées et des giclées de jute… Ah, qu’est-ce que j’aimerais connaître le goût que ça a ! En gardant les vaches, j’ai remarqué que des voitures s’arrêtaient souvent sur le petit parking qui est juste à côté du bois ; certainement des cueilleurs de champignons, je me disais. Alors un jour j’ai voulu faire comme eux. J’étais en train de remplir mon panier de girolles lorsque j’ai entendu des voix qui se rapprochaient de moi. Sans savoir pourquoi, je me suis cachée derrière les frondaisons et je n’ai plus bougé. Et je les ai vus arriver : un homme d’une quarantaine d’années accompagné d’une petite ...