Vacances, sexe et exhib. (7)
Datte: 18/03/2019,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... dans « Papillon de nuit » ? Tu vas aller aux toilettes. Le gentil serveur t’y attend ; tu vas lui offrir un joli pourboire sous la forme d’une belle pipe, et tu reviens avec la preuve dans ta bouche. Alors là, elle y va fort ! Je regarde Pat, cherchant du secours auprès de lui ; mais rien, il n’a pas entendu ou il fait semblant. Je suis certaine qu’ils sont complices. Je me lève, la robe ouverte. Personne en vue. Je suis excitée et décide de faire une exhib d’enfer. Je marche un peu, me retourne vers eux, ouvre ma robe en grand et me caresse la chatte ; demi-tour, je leur offre mon cul et je file vers les toilettes. Le cœur battant, je pousse la porte et me retrouve nez à nez avec le beau serveur appuyé au lavabo. Je ferme la porte à clé, me débarrasse de ma robe et attrape ses mains pour qu’il me caresse ; il le fait avec plaisir et attention. Son membre tendu et confiné dans le pantalon ne demande qu’à prendre l’air : je défais la ceinture puis le bouton, fais glisser la fermeture Éclair et extrais l’engin que je dois sucer jusqu’à en récupérer le liquide. Je m’agenouille et lui fais une rapide fellation jusqu’à ce que son liquide m’inonde la bouche. C’est chose faite. Je me rhabille et retourne rejoindre les autres ; les cafés sont servis. Élodie m’interroge du regard ; en réponse, je laisse couler un filet de sperme dans ma tasse. — Pat, tu as vu ta salope de nana ? Il faut qu’elle bouffe toutes les queues qu’elle trouve ! — Mouais… Après tout, si elle aime. Tu as aimé, ...
... ma chérie ? — Tu veux goûter ? Il m’en reste. — Non merci. Il caresse ma chatte inondée. Le serveur revient un plateau entre les mains ; Pat continue, et je me tords de plaisir pendant que le serveur dépose quatre petits verres remplis d’un liquide couleur citron. Je n’en peux plus, avec ses doigts qui entrent en moi… Je lui attrape le poignet pour qu’il enlève sa main, mais il est plus fort que moi. Je ne sais pas comment me mettre. Je croise le regard des filles : il est comme leur sourire, amusé et ravi de cette situation. Le serveur me regarde avec un large sourire et déclare : — Tenez, c’est offert par la maison ; vous pouvez boire, c’est au citron. Et merci, Mademoiselle ; bonne fin de soirée. Pat et les filles le remercient, et moi, toujours en conflit avec ces doigts qui jouent avec moi, je n’en peux plus. Mon chéri, qui vient de me plaquer contre le dossier de la banquette avec un baiser fougueux, fouille de plus en plus mon intimité et me fait arriver à un orgasme de folie. J’avale mon café d’un trait, et derrière le verre de digestif au goût de citron. Un peu d’air me ferait du bien. Nous sortons, largement remerciés par le serveur. La voiture est à une cinquantaine de mètres ; je prends un peu d’avance, dégrafe ma robe, déverrouille les portières, et au moment où je me retourne je la laisse glisser au sol pour me retrouver entièrement nue. Au loin, des gens sortent du restaurant ; je ne sais pas s’ils me voient, mais ils regardent dans notre direction. J’ouvre la ...