1. Accueil des déshérités 7


    Datte: 19/03/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    . 7 - Que crois-tu ? Venu dans votre établissement indispensable aux laissés pour compte de l’amour afin de t’apercevoir sans te déranger et sans rompre notre break, j’avais l’intention de prendre quelques photos de toi où tu serais naturelle parce que tu ignorais que je te photographiais. Non seulement je t’ai vue naturelle mais j’ai vu ta nature nue chaque fois que tu as présenté ta croupe devant le trou. Tu masturbais la queue de l’individu placé de l’autre côté de la cloison, tu lui faisais une gâterie avec la bouche avec beaucoup d’appétit et enfin tu te positionnais, fesses et sexe tournés vers ce trou destiné par nature à la pratique de la masturbation, de la fellation ou de la pénétration vaginale ou anale. - Je sais à quoi servent ces trous. Si tu m’as observée, prouve-le. Combien de gars m’ont possédée ? J’ai l’ouïe fine, ce que je n’ai pas pu voir, je l’ai entendu au cours de leur conversation hier. Je vais impressionner Lili par certaines précisions, celles qu’elle a fournies à Robert. - Hier, je ne suis pas resté jusqu’à la fin. Sous mes yeux trois braquemarts t’ont enfilée. L’un était de forte taille, long et épais, typiquement africain. Tu as beaucoup grimacé pendant que son piston te sabrait. Ta tête faisait des bonds à chaque bourrade. C’est à peine si tes mains crispées sur le bas flanc réussissaient à te maintenir debout et en équilibre. En réalité je n’en ai vu que deux. Le troisième tu ne l’as pas reconnu, parce que votre système de trous permet ...
    ... l’anonymat. Tu m’as enfermé dans un préservatif, tu n’as pas pu toucher mon corps, mais croyant à un rapport sexuel sans lendemain tu t’es montrée ardente et charitable avec moi comme avec les deux autres. L’amour avec des inconnus te sublime. Tu n’as pas de fausse pudeur pour te freiner. Tu m’as étonné par une sorte de rage à vouloir me faire éjaculer. - Tu bluffes, il n’est pas possible que je ne te reconnaisse pas, même avec un préservatif. - Je craignais que lors de la pose du préservatif tu ne fasses le rapprochement avec mon vit. Ne regardes-tu jamais la verge que tu caresses ou que tu suces ? Tu t ‘es montrée normale, sans réaction, tu n’as pas compris qui sollicitait ton aide. J’étais lambda ou epsilon ou un numéro dans la longue suite des bénéficiaires de tes bontés manuelles, buccales ou vaginales. J’en ai été vexé. Mais c’est normal. Tu ne m’attendais pas, j’ai fait partie d’un lot, et après le traumatisme subi sous Louis ton collègue au gourdin trop large pour toi, ton vagin sollicité par une succession de pieux, échauffé, incandescent, n’était plus en état de faire la différence, comme un palais échaudé ne distingue plus les saveurs. - Nous manquions de femmes. J’ai agi pour le bien de ces hommes. Je n’ai pas accordé de faveurs vaginales avant-hier soir. Ne généralise pas comme si j’offrais mon sexe pour mon plaisir tous les jours. - Tu t’es fait violence. Mais tu as compensé le nombre par la qualité. Tu as bien pris ton pied, c’était lisible sur ton visage radieux. C’est ...
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