1. Le miroir à trois faces


    Datte: 19/03/2019, Catégories: fff, hplusag, jeunes, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme miroir, intermast, Oral init,

    ... laissait la porte ouverte. Et puis bon… de fil en aiguille… Il y avait Vanessa aussi. Là, c’est autre chose. Je n’étais pas très fixée avec elle. Bien sûr, on pouvait parler de tout et de rien sans que ça dégénère. En plus elle a ce côté attachant qui sait écouter… Et elle sent bon. C’est peut-être gadget, mais je trouve que c’est important de sentir bon. Parce que Margrit, ça fait un bout de temps qu’elle ne devait plus savoir où était passé son dernier flacon d’Elisabeth-à-Barden. Oui je sais… Margrit, c’est pas Miss Monde non plus. Je me suis dit que même si j’y laissais ma chemise à son truc de roulette, ça ne pouvait pas aller loin. La chemise en fait, c’était la robe que j’avais renfilée. Nous voilà parties pour un nouvel essayage, jusqu’à ce qu’elle me dise de l’enlever encore une fois pour pointer l’ourlet comme il fallait. Après, je ne sais plus très bien. Je regardais Vanessa. Je repensais à cet après-midi où je l’avais vue toute seule dans la crique. Elle devait se douter que je l’avais regardée, mais elle n’avait rien laissé paraître. Quand même, ça m’avait… disons marquée. Je la voyais avec d’autres yeux. Surtout avec des pensées… différentes. Le premier soir, je l’avais déjà trouvée déroutante quand mon père l’avait invitée à la table. Elle n’a pas eu l’air gênée le lendemain, quand je lui ai tendu la revue qu’elle avait oubliée à côté du rocher. Pourquoi je la lui ai rapportée, j’en sais trop rien. Juste pour qu’elle se doute, peut-être. Alors quand au début ...
    ... j’ai vu arriver Margrit avec ses grands sabots, j’ai un peu paniqué. J’me disais… J’sais plus c’que j’me disais. Il y avait des images qui revenaient. Pas seulement celles de la crique bien sûr. Mais quand même. Et puis les manigances de Margrit n’arrangeaient rien. Bon, c’était le jeu. De l’autre côté, il y avait la curiosité. D’ailleurs l’étude des mésanges charbonnières vient encore confirmer les dires de je n’sais qui, qui évoquait le fait qu’une augmentation des concentrations en récepteurs D4 de la dopamine dans le cerveau allait de pair avec un accroissement de la curiosité chez la souris. Alors « voir la belle dame se remettre en condition ouvre des perspectives » avait lancé Margrit. À nous regarder dans le grand miroir, ça avait fait naître des vibrations qui sont montées sournoisement de la pointe des pieds jusqu’à la racine des cheveux en passant par bien des détours. Laisser venir le « contre-nature » n’était pas désagréable après tout. Ce qui me retenait un peu, c’était cette insistance de Margrit à vouloir me voir me toucher. Comme si j’étais la seule à ne pas oser le faire devant elle. C’est le terme masturber qui me gênait je crois, jusqu’à ce que je voie Vanessa le faire. Tout lentement d’abord. Je ne la voyais plus de loin cette fois. J’aurais même pu la toucher. Alors à suivre les gestes… C’est elle finalement, qui a guidé ma main vers mon nid d’amour, comme elle disait. Je m’étais tournée un peu contre elle pour éviter les regards de Margrit, mais bon. ...