1. Julien


    Datte: 19/03/2019, Catégories: fh, ff, fsoumise, fdomine, soubrette, intermast, Oral pénétratio,

    ... je me laisse aller aux caresses que Denise commence à très bien maîtriser. Au plus fort de mon plaisir, alors que je suis presque allongée sur la table, je perçois comme une sorte de soupir derrière moi. Intriguée, je me retourne, mais rien… j’ai dû rêver. L’incident est suffisant pour me faire prendre conscience de la situation et pour arrêter Denise le plus gentiment possible. Rhabillées, nous nous rendons chacune dans notre chambre. * * * En fin d’après-midi, un orage a rafraîchi un peu l’atmosphère devenue plus respirable et, au repas du soir, l’ambiance est particulièrement détendue. Je suis même étonnée de voir Monsieur sortir de son mutisme coutumier pour adresser quelques compliments à sa femme concernant sa tenue (la même que le midi, pourtant) et, pendant que je débarrasse le couvert, je le surprends à me détailler de la tête aux pieds, alors que je suis habituellement, totalement transparente à ses yeux. Il va même, ô surprise, jusqu’à avouer qu’il a apprécié la fraîcheur de ce petit repas. Comme tous les soirs, je fais la vaisselle seule puisque Madame reste avec son mari au salon le temps qu’il fume son cigare en lisant le journal. Je les entends bavarder un peu. Ma vaisselle terminée, je vais les saluer et je monte dans ma chambre. Là, j’ouvre la fenêtre en grand et je me déshabille. Au lavabo, je me passe de l’eau froide sur tout le corps à l’aide d’un gant de toilette puis, nue, je m’allonge sur le lit sans même m’essuyer pour goûter la fraîcheur de ...
    ... l’évaporation sur ma peau. * * * J’ai dû m’endormir, il fait nuit. Il me semble avoir entendu comme un grattement. Non, je n’ai pas rêvé, c’est bien de nouveau un grattement à ma porte. Je questionne : — Oui ? Un chuchotement : — Je peux entrer ?— Un instant… J’allume, attrape ma chemise de nuit sous l’oreiller et l’enfile en vitesse en allant ouvrir la porte, les yeux clignotant sous la lumière soudaine. Bizarre, je ne reconnais pas la voix de Denise. J’entrouvre le battant pour découvrir Monsieur seulement vêtu d’un pantalon de pyjama. Il me repousse doucement et entre. Je suis trop abasourdie pour réagir. Très calme, il fait le tour de la chambre et va s’asseoir sur le bout du lit. Je suis toujours debout à côté de la porte, tournée vers lui, les bras ballants. — Allons Martine, ne reste pas comme ça, viens t’asseoir… Et il tapote le lit à côté de lui. D’un seul coup, je prends conscience de la situation, alors je croise les bras et, le fixant : — Mais, qu’est-ce que vous faites là ? En voilà des manières !— Chut ! Je me rends compte que j’ai presque crié, alors que lui parlait à mi-voix. Alors que je continue à le toiser, je vois sa belle assurance s’envoler. Les yeux sur ma poitrine qui pointe au travers de la fine chemise, il rougit brusquement et je vois des gouttes de sueur commencer à perler sur son front. Gêné, ses yeux papillotent, viennent quelques instants se fixer sur le triangle brun de mon mont-de-Vénus puis se collent au sol, devant mes pieds. — Cet après-midi… La ...
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