1. Julien


    Datte: 19/03/2019, Catégories: fh, ff, fsoumise, fdomine, soubrette, intermast, Oral pénétratio,

    ... réaliser la situation. Puis, ses yeux s’animent, se mettent à pétiller et me parcourent de la tête aux pieds plusieurs fois. Je reste impassible. Il se lève et vient me caresser le visage ; il se penche pour m’embrasser. Ça, je ne peux pas ! Je retire ma tête brusquement en serrant les lèvres. Il a compris. Ses mains descendent sur mon cou, mes épaules, mes bras, arrivent sur mes hanches, enfin, elles atteignent le bas de ma chemise de nuit. Il me regarde alors, cherche une approbation sur mon visage. Je ne bronche pas. Des deux mains, il commence à soulever l’ourlet doucement. Il s’est baissé, tenant ses yeux à la hauteur de la partie de mon corps qu’il découvre. Je frissonne. Est-ce son regard appuyé sur ma toison puis sur mon ventre ou bien le chatouillis du tissu soulevé lentement ? Cette lente mise à nu sous un regard d’homme commence à m’émouvoir. Mes cuisses se resserrent compulsivement, malheureusement ma position m’empêche d’exciter ainsi mon clitoris. Malgré la chaleur, je tremble de la tête aux pieds, d’autant plus que le souffle chaud de sa respiration vient caresser mon ventre. Je sens mes seins durcir, il va falloir que je lève les bras. Il profite que la chemise me couvre le visage et m’entrave les bras pour me lécher les tétons puis les mordiller doucement. Il faut qu’il arrête ! Vite ! Mes jambes ne me soutiennent plus, je vais m’écrouler… L’a-t-il senti ? Il retire rapidement la chemise et la jette à terre. Ce bref moment me permet de reprendre la ...
    ... maîtrise de mon corps. Je suis nue devant lui, toujours immobile. Il se rassoit en face de moi. — Tu es belle, tu sais… Je me refuse à l’aider, je ne tressaille même pas. Alors, il sort son sexe de son pyjama. Il est raide, le gland violacé sort à moitié du prépuce. Je n’ai guère d’éléments de comparaison, mais il me semble tout à fait normal, assez fin pour ne pas trop me faire peur. Je le regarde de loin sans marquer d’émotion. — Viens ! dit-il en avançant le bassin.— Non Monsieur ! C’est à vous de me caresser, c’est à vous de me donner l’envie de vous ouvrir les jambes. Si ça ne vous convient pas, allez-vous-en et contentez-vous vous-même.— Tu es dure…— Non, le plaisir, ça se mérite… Et j’attends, toujours debout devant lui. Lui, inconsciemment, a mis sa main autour de son sexe et le presse à petits coups, pendant ce temps, il me regarde en réfléchissant. Brusquement, il se lève, me prend par les épaules et m’amène à m’asseoir sur le bord du lit. Doucement il me pousse pour que je m’allonge. Pour la première fois depuis son entrée dans ma chambre, je me détends. Je suis convaincue qu’il a compris ce que je désirais et qu’il va obéir. Je ferme donc les yeux et je m’abandonne à ses soins. Ses mains vagabondent un peu partout. Sa bouche, par contre, suit un itinéraire parfaitement défini de mon cou à ma poitrine où il lèche la totalité de mes seins, s’attardant longuement dans le sillon qui les sépare, puis il les tète, l’un après l’autre. Je retrouve les mêmes sensations qu’avec ...
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