1. La rencontre du train


    Datte: 19/03/2019, Catégories: fhh, hbi, jeunes, hépilé, train, facial, Oral

    Je m’appelle Vincent, j’ai 25 ans et je vais vous raconter ce qui m’est arrivé réellement il y a un peu plus de trois mois maintenant. Je dois dire que cette expérience m’a profondément marqué et me laissera un souvenir impérissable. J’effectue mes études de gestion à Tours, mais j’habite encore chez mes parents à Epernay, dans la Marne. De temps à temps, je retourne chez moi le week-end, en prenant le train. Ce soir-là, à Paris, je monte dans mon deuxième train qui m’emmène jusqu’à Epernay. J’aime être tranquille pendant le voyage, évitant le plus souvent possible les échanges avec d’autres personnes. Et là, je suis satisfait, car je n’ai pas à chercher longtemps une place : il n’y a pas l’air d’avoir grand monde et je trouve presque aussitôt un compartiment complètement vide et dont aucune place n’est réservée. Je m’installe donc au fond contre la fenêtre en prenant soin de fermer la porte, et j’attends le départ du train, prévu dans une quinzaine de minutes. Fatigué de ma semaine, je commence à m’assoupir quand mon début de sommeil est troublé par le bruit d’ouverture de la porte et par des voix. Je lève les yeux et vois un couple dont l’homme me demande en souriant si ça ne me dérange pas qu’ils s’installent ici. Guère enchanté par cette situation, mais n’en laissant rien paraître, je lui réponds aimablement qu’il n’y a aucun problème. Les deux personnes me remercient et s’installent sur la banquette d’en face, mais pas sur la place directement devant moi. Voyant ...
    ... certainement que j’ai l’air un peu endormi, le monsieur me demande s’ils m’ont réveillé. Toujours faussement aimable, je leur réponds en souriant que non et ajoute que, de toute façon, le contrôleur m’aurait réveillé tôt ou tard. Sa femme m’adresse un sourire « commercial » et me répond qu’eux aussi sont fatigués et qu’ils vont dormir. Toujours en me l’ayant demandé au préalable, elle ferme à son tour la porte du compartiment et éteint même la lumière, si bien que nous sommes plongés dans une demi-obscurité (les rideaux de la fenêtre n’étant pas rabattus) et que le calme que j’affectionne tant est revenu. J’ai eu le temps de les regarder brièvement : c’est un couple qui a, je pense, plus d’une quarantaine d’années et qui, ma foi, n’est pas trop mal du tout. Madame est brune, cheveux mi-longs bouclés, environ 1m65, elle n’est certes pas « top jolie » mais son maquillage voyant lui donne un « je n’sais quoi » d’attirant, de sensuel. Sa silhouette est assez fine et bien mise en valeur par une jupe noire qui lui arrive un peu au-dessus des genoux. Monsieur est brun grisonnant, lunettes, je dirais pas plus d’1m80, fin, habillé en jean et chemisette. Peu après le départ du train, nous avons été dérangés par le passage du contrôleur, ensuite je me souviens m’être assoupi à nouveau très rapidement, entendant juste parfois quelques chuchotements échangés entre mes voisins de compartiment. Je me suis endormi pendant un temps dont j’ignore totalement la durée. Mais, à un certain moment, de ...
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