1. Ma femme baisée par des ouvriers


    Datte: 20/03/2019, Catégories: Gay Voyeur / Exhib / Nudisme

    Je suis une femme marocaine de 28 ans, BCBG, issue d'un milieu bourgeois et religieux où le sexe reste tabou. Grande, brune, plutôt bien faite, je fréquente des gens d'un milieu huppé avec Karim mon mari. Nous sommes mariés depuis 10 ans. Seul homme de ma vie, mon époux est un avocat respecté, mais qui veut tout gérer sans donner vraiment de piment à notre couple. Impulsif et parfois fougueux, mais jamais au lit à cause de son petit zizi et de ses éjaculations précoces !Un soir, après une sortie dans un restaurant chic de la capitale, une dispute éclata entre nous, concernant le peu de cas qu'il faisait de ma personne. Il me dit que si une chose me manquait, je pouvais la trouver dans la rue, comme une vulgaire putain. Il arrêta la voiture et me fit descendre. Dans ma tenue, je lui dis ma peur mais il ouvrit la portière et me fit descendre. Je n'avais ni argent ni moyen de rentrer chez nous.Je me trouvais donc seule, en robe rouge fendue avec mes talons, mon sac à main et des sous vêtements plutôt sexy. Je commençais à marcher avec la peur au ventre. Je tremblais de partout et je pleurais doucement. Karim était déjà loin. Quelle ordure !En passant devant un bâtiment (foyer d’ouvriers), un homme m'interpella pour me demander ce que je faisais sur ce trottoir. Je n'osais pas lui répondre. Il me prit le bras en me disant que je serais violée dans les 5mn. Il me proposa de m'accompagner afin de me protéger. En le regardant, je vis un bel homme de 30 ans, fort et protecteur.Il me ...
    ... fit des compliments et j'en fus ravie. Son contact me troublait. Il mit sa main sur mon épaule et je sentis comme un fluide qui me fit frissonner.Directement, il me dit : "Tu as envie de sexe mais tu ne le sais pas encore et tu vas devenir une bonne femelle pour moi". J'en restais bouche bée. Il me prit par la main pour m'entraîner vers ce foyer. Je me laissais faire de peur d'être violentée, et je traversais le foyer sous le regard de tous ces ouvriers au regard lubrique.Il me fit entrer dans sa chambre, me regarda un moment, et je vis que la porte était ouverte, mais je n'osais toujours rien dire. La peur. L'excitation aussi.Je reconnais que mon vagin était en feu. Il était gonflé et humide. Il me demanda d'enlever ma robe doucement afin qu'il profite du spectacle, ainsi que ses amis aussi. Je m'exécutais sans pudeur, dévoilant mon string rouge et mes bas noirs.-Tu es une belle femme bourgeoise et tu vas recevoir de la queue comme jamais. De la bonne queue marocaine et africaine, bien grosse !Je devenais de plus en plus excitée et je me mis à genoux pour ouvrir son pantalon. Et là, je vis la plus grosse queue de ma vie, rien à voir avec le clitoris de mon mari ! Longue, grosse, circoncise, un gland énorme. Ma main ne faisait pas le tour de ce zob. Je le pris en bouche avec beaucoup de difficulté, mais je l'engloutis néanmoins. Je suçais un homme rencontré dix minutes avant, dans la rue, moi la petite bourgeoise docile ! Et je mouillais comme une salope qui trompait son mari ...
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