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Carole
Datte: 20/03/2019, Catégories: ff, frousses, fête, odeurs, ffontaine, Masturbation intermast, Oral Lesbienne
... est aussi douce que son sourire et je fonds déjà. Un mouvement plus brusque me fait poser mes mains sur ses hanches pour ne pas chuter. Je sens son corps frémir avant que je m’excuse à nouveau. — Encore désolée…— Toujours pas grave. Sa voix est devenue plus rauque. Est-elle aussi troublée que moi ? Je ne contrôle plus trop mes mains qui caressent doucement ses hanches à travers sa robe si fine que je sens le grain de sa peau. Elle ne proteste pas, ne se dérobe pas, voire même se colle plus à moi. Je sens ses fesses contre mon pubis rendant mon string aussi moite qu’un polo de tennisman à Roland Garros. — Toujours désolée…— De moins en moins grave… Me main se fait plus audacieuse glissant lentement vers le bas de sa robe n’attendant qu’un signe pour passer sous le tissu doux. Elle reste là, inerte, mais présente. J’oublie le monde autour de moi. Je suis prête à toutes les folies si ma nouvelle amie pense comme moi. Ma bouche frôle son oreille la faisant frémir. — Je peux ? Elle sourit sans me regarder, le souffle plus rapide. — Tu peux… Ma main passe sous la robe ample et frôle sa peau nue, moite et frémissante. Lentement, elle remonte vers le haut, là où la peau est la plus fine. Carole gémit doucement, les yeux mi-clos. Ses fesses ondulent doucement contre mon pubis pour me montrer son envie que mes doigts confirment. Ses dessous ne peuvent tricher : elle est aussi trempée que moi ! Déconnectée du monde, je n’ai rien suivi du speech de la belle Vic qui va souffler ses ...
... bougies. Le noir est fait aussitôt pour cet instant solennel et je profite de l’obscurité pour mordiller son oreille tandis que mes doigts appuient sur son string humide. La belle lâche un cri de surprise et de plaisir heureusement couvert par les applaudissements frénétiques de la foule. Sentant la lumière bientôt revenir je retire ma main de sous sa robe et lui murmure. — Suis-moi. Main dans la main, nous fendons la foule indifférente et partons loin du bruit en direction de la bâtisse vide. Essoufflées nous grimpons jusqu’au premier étage à la recherche d’un endroit calme. La première pièce est la bonne et j’entre, suivie par Carole qui n’a pas lâché ma main. Je referme la porte d’un coup de pied peu féminin et me colle à ma partenaire pour reprendre nos jeux sensuels. Notre baiser est à la hauteur de nos envies et nos bouches se dévorent faisant fi du maquillage pourtant savamment appliqué. Nous gémissons, haletons, ondulons de désir. Pas de mots, mais des gestes affolés et affolants. Je retrousse sa robe pour accéder à ma cible précédente et Carole tremble de tout son corps lorsque je presse sa vulve à travers le tissu. Elle libère ma bouche dans un râle. — Caresse-moi. Sa voix est rauque, sensuelle et troublante. Elle s’agrippe à mon cou tandis que ma main prend possession de son sexe. Le tissu est fin, trempé et accentue les sensations sur ses muqueuses sensibles. Elle gémit de plus belle. Elle adore cette caresse tout comme j’adorais lorsque Hélène me l’appliquait. Hélène… ...