Valérie - Fin de soirée au bureau
Datte: 20/03/2019,
Catégories:
Épouses affectueuses,
... la tête de Valérie vers sa queue. Peut-être savait-il qu'au fond d'elle même Valérie souhaitait pousser plus loin ses propres fantasmes, mais si loin? Savourer l'engin n'était pas exactement la situation souhaitée. - M. Leroy, voici le document. - Merci Marc, voici Candy! Approchez, approchez! Marc était mal à l'aise, il voyait son patron avec la jeune femme agenouillée. Il savait très bien ce qu'elle lui faisait. Il choisit de détourner le regard. Valérie gardait le plus possible sa tête penchée vers le bas. Elle ne voulait surtout pas croiser le regard de son fiancé. Sa bouche chaude couvrait maladroitement une grande partie de la queue du directeur qui appréciait vraiment le traitement. Elle eut un moment de répit quand Leroy commença à feuilleter les pages du contrat : elles couvraient en partie son visage. Néanmoins, Marc essaya de voir qui était l'amazone de son patron. La noirceur et la position de la femme ne lui laissaient que son imagination. - C'est très bien... Marc. C'est du beau travail... Valérie savait qu'une part des commentaires lui était adressée. Dans son ventre, naissait le début d'une aisance. Les veines dures et le gland rouge vif l'attiraient de plus en plus. Elle se hâtait et enfonçait la queue plus profondément. Les regards furtifs de son copain ne le renseignaient pas sur son identité. Elle se sentait forte d'avoir pu résister à l'envie de s'enfuir. Les bruits de succion ne le renseignaient pas, et pourtant il aurait du les reconnaitre... Leroy, ...
... lui, voulait pousser le couple plus loin encore. - Il ne me reste que la signature à poser. - Je suis bien content du résultat monsieur. - Je suis mal placé, Candy, lève-toi et couche-toi sur la table. - Oh! Patron! - Marc! Vous êtes d'accord pour dire qu'après une pipe il faut passer à autre chose? - Oui... bien sûr... mais moi... Le brin d'aise et de confiance de Valérie venait de s'envoler. Il l'attira vers la table et n'eut été de l'obscurité s'en eut été fini. Francis Leroy avait usé de tous ses pouvoirs, principalement sur Valérie, pour la positionner dos à Marc qui s'était heureusement retourné par pudeur. «Candy» était maintenant à plat ventre sur la table, ses fesses prêtes à recevoir l'inoculation du patron. - M. Leroy, je suis mal à l'ais! - Petitclerc, il faut aller jusqu'au bout, il faut constamment maximiser et, ce soir, cela me rapporte énormément. Il avait levé le bras et tenait fièrement le dossier sur lequel Marc avait passé tant d'heures ce soir pendant qu'il pistonnait et pistonnerai encore sa femme. Valérie était figée sur le bois si froid. Elle attendait que son fiancé remarque sa trahison et qu'il casse tout. Rien n'arriva, excepté la subite entrée de la queue robuste de son amant. Il l'avait saisie aux hanches et l'avait transpercée comme la foudre abat un arbre : ce fut une explosion. Son gland poussait ses chairs closes par la tension et l'angoisse. Le patron s'aidait avec ses mains : l'une tenait un stylo d'ivoire et l'autre main, les pages du contrat. ...