Camille, délivre-moi du mâle
Datte: 21/03/2019,
Catégories:
fh,
ff,
fhh,
hplusag,
couleurs,
danser,
fsoumise,
dispute,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
69,
confession,
... un ancien militaire croate fraîchement débarqué en France. Le type me dévisage comme une poupée gonflable, alors que je n’ai fait ce matin aucun effort pour m’arranger. Je me présente ; il hoche la tête, me dit se nommer Milan et, avec un accent à couper au couteau, me propose un café dans la petite cuisine. Je ne sais trop où mon amie va chercher ses amants ! Elle débarque enfin, avec des croissants chauds. Je lui raconte ma folle soirée ; je la sens un peu gênée. Jusque là, elle avait parfaitement prévu tout ce qui allait se passer, mais le dérapage de la veille n’était pas programmé. Elle affirme, pour se défendre, que j’en ai fait un peu trop ! J’installe tant bien que mal mes deux valises dans un coin du salon, où nous mettons des draps à un clic-clac étroit. Son mec sort de la douche, toujours en caleçon, et nous regarde nous agiter, une bière à la main. À son regard enveloppant, je sens que mes formes l’inspirent. Soucieuse de leur laisser un peu d’intimité, je prétends une visite à ma mère et pars me promener. Lorsque je rentre le soir, à l’heure du dîner, il est toujours vêtu du strict minimum. Après avoir dîné d’une pizza et d’un gâteau que je leur ai apportés, nous regardons un film. L’homme est assis entre nous deux, sur le canapé qui est aussi mon lit ; je dois à plusieurs reprises éloigner une main baladeuse. Je me souviens que Sandrine me l’avait décrit commepas forcément idéal pour son honnêteté ni son goût du travail, mais compensant par ailleurs ces petites ...
... faiblesses. À la fin du film, il insiste pour que je les rejoigne dans leur chambre à côté, visiblement inspiré par unplan à trois, comme dirait ma copine. Je n’en ai aucune envie : je viens de m’adonner suffisamment à ce genre de combines, ne suis pas sûre de la réaction de mon amie, et décline donc son hospitalité intéressée. À plusieurs reprises, au cours de la nuit, les cris de Sandrine m’éclairent sur lescompensations par ailleurs qu’elle avait évoquées à propos de son mec. Je me dis que mon séjour chez elle ne peut être que très provisoire, par manque d’intimité. À midi, le lundi, Camille me téléphone. Prémonition ou bavardage d’Alex, je ne sais, mais elle s’enquière de la suite de notre départ précipité du club. Je m’ouvre à elle : j’éprouve le besoin de m’épancher, lui raconte en détail notre scène de ménage et mon envie de fuir ; elle me propose aussitôt une chambre chez elle. Ça ne pouvait guère mieux tomber ! Elle m’accueille, le soir même, dans l’hôtel particulier où m’avait emmenée son mari. Je n’ai pas le droit cette fois à la visite de la collection de peinture naïve, mais à une chambre spacieuse, décorée avec goût, où je peux à loisir ranger le contenu de mes deux valises. Dominique est absent, mais je fais connaissance au dîner des deux enfants du couple : Kevin, 17 ans, un solide gaillard, portrait craché de son père et Carole, 14 ans, une vraie petite peste. Lorsque nous avons fini, je me propose de desservir ; Camille me gronde : elle a deux employées de ...