L'amour d'un père (10)
Datte: 22/03/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... pas comme ça, je veux la souiller jusqu’au bout. Je me retire de son anus et la retourne sur le dos. Elle est complètement dans les nuages, perdue dans son nirvana. Elle ne me capte pas quand je me branle devant son visage, elle a seulement un sursaut lorsque je lui envoie ma première giclée de sperme dans la figure. — Aaah ! Lilly ! fais-je en grognant. Prends ma petite pute ! La petite pute à son papa ! Ma queue explose au point que j’ai l’impression que mon cœur va s’arrêter. Je tire d’incroyables jets de foutre en plein sur ma fille. J’ai envie de la salir, de faire d’elle une salope. Je me soulage en me vidant entièrement les bourses. Elle en a vraiment partout, j’en ai même mis sur le divan ; ce n’est pas grave, il en a vu d’autres. Les salves deviennent moins abondantes jusqu’à se tarir complètement. Je secoue ma bite pour lui donner les dernières gouttes, puis, essoufflé, je prends un instant pour constater les dégâts que j’ai fais. Je la trouve plus belle que jamais couverte ainsi de mon jus. C’est difficile à croire qu’elle était vierge quelques minutes plus tôt. Je ramasse mon sperme avec mes doigts et les lui portes à la bouche en lui disant : —Tu t’es goutée tout à l’heure, maintenant, goute-moi. Elle me les suce sans réfléchir comme si je lui avais tendu un biberon. — Alors, c’est bon ? fais-je. Tu aimes ? Elle hoche la tête en guise de réponse. Je commence à avoir des remords pour ce que j’ai fais. J’ai besoin de savoir si je n’ai pas trop dépassé les bornes : ...
... — J’espère que tu ne m’en veux pas, lui dis-je. J’ai été... pris dans le moment. Ça va ? Tu vas bien ? — Oui, répond-t-elle timidement. — Cela ta plu, tu as aimé ? — Oui, fait-elle ne rougissant, mais... j’ai un peu honte. — Il n’y a pas de honte à avoir aimé ça, tu sais, au contraire. Elle baise les yeux pour éviter mon regard. Elle est si mignonne quand elle joue les gênées. Nous parlons un peu en nous rhabillant, puis elle aborde enfin le sujet brulant : — Ce que tu as dit tout à l’heure, c’est vrai ? Tu es mon papa ? — Cela m’a échappé. Mais oui, ma puce, c’est vrai. Ta mère et moi... ma propre fille, nous... — Je crois que je m’en doutais, m’interrompt-elle. — Quoi ? Vraiment ? fais-je surpris. — Je.... vous ai déjà surpris dans la chambre de tatie Nancy une fois. Je savais que vous faisiez l’amour ensemble. Du coup, je me suis déjà demandée si... Je devrais peut-être l’être, mais au fond, je ne suis pas tant étonné que ça. Depuis le temps que nous baisons mes filles et moi, il aurait été étonnant que personne ne se soit jamais rendu compte de rien ; surtout quand nous ne sommes pas aussi prudent que nous le devrions. — Comment tu te sens par rapport à tout cela ? fais-je. Tu aurais le droit d’être fâchée, de te sentir trahie. — Je l’ai été quand je vous ai vu, mais après, c’est passé, je suppose que je me suis faite à cette idée. Et puis quelque part, je suis contente pour maman : j’ai toujours trouvé ça triste qu’elle soit si seule. — Mais, et pour moi, et pour nous ? ...