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Christine VI : Midlife Crisis (18)
Datte: 22/03/2019, Catégories: Hétéro
A 14h, je quitte la tablée sans prendre de café et j’emprunte la voiture de Fabienne pour aller chercher Mélissa à la gare de Saint-Flureau. Le meeting reprend à 15h. Il me faut vingt bonnes minutes pour arriver à la gare. Le train de Mélissa s’y arrête à 14h28. La belle me saute au cou comme si elle rentrait d’un long voyage. Nous rions. Peu après, elle s’inquiète : — Ça reprend à quelle heure ? Il faut que je me change, ce con de dentiste a fait gicler un truc qui a taché mon chemisier et mon pantalon. — On va faire vite alors, car on doit y être à 15h et là, on en a bien pour vingt minutes de voiture. A peine sorti du centre de Saint-Flureau, Mélissa se penche sur mon entrejambe et me suce durant presque tout le trajet. J’éjacule dans sa bouche à quelques encablures de l’hôtel. Mélissa dépose rapidement sa carte d’identité à la réception et nous courrons dans sa chambre. En un instant, elle est en soutien-gorge et string et je la regarde passer un tailleur jupe blanc de toute beauté avec un chemisier bleu roy. — C’est nouveau ? — Non, ça me va à nouveau. Je ris. — Tu es sublime. — Vrai ? Alors on y va. Nous marchons d’un pas vif dans le couloir. En entrant dans l’ascenseur, je remarque qu’on voit beaucoup le string de Mélissa en transparence. Je lui dis : — Je pense que tu avais prévu une autre couleur de string pour ce tailleur. Elle fait la grimace. — On le voit beaucoup ? — Oui. C’est très sexy. — C’est pas le but de ce genre de rendez-vous. — Au moins, ils se ...
... rappelleront de toi. — T’es con. Mélissa oublie cela dès que nous sortons de l’ascenseur car nous nous retrouvons immédiatement dans le flux des participants au meeting qui se rendent dans la salle. Trois nouvelles heures de discussion. Mélissa est ravie et regarde tout et partout. Comme moi le matin. A la fin de la journée, à 18h, elle est comme un poisson dans l’eau au nouvel apéro. Les vestes tombent et l’ambiance est bien plus décontractée que le matin. Fabienne charrie Mélissa pour son string noir et elle lui demande de la tutoyer. Même Sabrina, toujours si stricte et froide, rit et blague. Nous avons rendez-vous à 20h30 dans un des grands salons de l’hôtel pour le souper. J’ai envie de me reposer un peu, de me doucher et d’appeler ma famille avant de redescendre. Mélissa monte avec moi. Fabienne me fait un clin d’œil. Mélissa et moi faisons l’amour très tendrement en prenant notre temps. Je me dis que ce rapport est peut-être le dernier et je sens que Mélissa est dans le même état d’esprit. C’est divinement bon. Nous restons un peu au lit avant d’aller nous doucher. Je profite ensuite que Mélissa retourne dans sa chambre pour s’habiller pour appeler la maison. Je parle quelques instants à mon fils et à ma fille. Celle-ci raccroche ensuite. Comme d’habitude. Je rappelle. Christine répond. — Il y a un problème ? — Non. Je voulais juste savoir comment tu allais. Il y a un blanc. Furtif, mais il existe. — Mais… heu… je vais bien. — Ta journée ? — Un peu compliquée, beaucoup à faire. ...