La mission
Datte: 19/08/2017,
Catégories:
fhh,
hépilé,
hotel,
odeurs,
massage,
facial,
Oral
69,
yeuxbandés,
init,
couple+h,
... avait replié la jambe droite, laissant une belle vision de sa chatte. Béa s’offrait totalement au jeu, profitant de ces instants sensuels qu’elle avait presque oubliés depuis qu’elle avait épousé son homme. Les enfants, le travail et les occupations diverses… La routine s’était vite emparée de leur vie de couple sans qu’elle s’en soit aperçue. Évidemment, son mari, sentant la monotonie s’installer dans leur couple, avait à plusieurs reprises tenté de tirer la sonnette d’alarme… Mais ses efforts étaient restés au stade de promesses, sans que rien ne puisse y changer. Pourtant, ce soir, elle avait réellement envie de se prêter au jeu et de vivre cette aventure interdite à l’hôtel. Elle prenait sa mission très à cœur. L’inconnu avait laissé son plumeau pour lui offrir des caresses plus intimes avec les mains et les doigts. Celles-ci se faisaient de plus en plus sensuelles sur tout le corps, en particulier les seins qu’il venait de libérer du bustier en retirant le lacet. Son sexe aussi semblait un terrain de jeu fort agréable. Béa sentait son amant à côté d’elle. À plusieurs reprises, elle tenta d’agripper son sexe pour lui rendre des caresses en retour, mais, très rapidement, elle se fit remettre les mains le long du corps. Elle obéissait, elle avait juste pu découvrir que l’homme était encore en caleçon. Elle le sentit s’éloigner d’un coup. Heureusement « l’absence » ne fut pas trop longue, car elle aurait dû finir toute seule, sinon ! Elle sentit une huile parfumée se ...
... rependre sur son ventre… Comme c’était agréable ! L’huile était tiède, on aurait pu penser à une coulée de sperme. Elle sentit à nouveau les mains de son compagnon glisser sur elle et étaler dans les moindres recoins cette substance si parfumée. L’obscurité, les odeurs divines, Béa n’en pouvait plus. Elle finit par remonter à nouveau ses mains vers le caleçon du mâle. Elle ne rencontra pas de résistance, cette fois-ci. Elle en profita donc pour lui malaxer le sexe avec grand soin. S’il était indéniable que Béa était dans un état d’excitation important, elle put constater que la bite qu’elle avait dans la main était aussi très en forme. Même à travers le caleçon, il n’y avait pas de doute, elle allait en prendre pour son grade. Elle entendit l’homme ouvrir deux flacons qu’il lui fit sentir. Elle discerna immédiatement les odeurs de fraises et de chocolat et comprit qu’il s’agissait des flacons de peinture sur corps. L’homme posa les deux flacons sur son ventre. D’une main il lui caressait le bord des lèvres de la chatte ; de l’autre, il appliquait la lotion avec un pinceau sur ses seins qui pointaient avec provocation. Béa, qui n’en pouvait plus, baissa le caleçon pour libérer le sexe qu’elle était en train de malaxer. Elle sentit l’élastique résister quelques instants tant la bête était tendue mais le caleçon finit rapidement au sol. Elle saisit le sexe à pleine main.« Quelle bite ! » pensait elle…« Yves a rarement été dans une telle forme ! Oh mais qu’est ce que c’est ? » Elle ...