Vicieux et fier de l'être (1)
Datte: 23/03/2019,
Catégories:
Divers,
... suppose que je vais devoir faire un striptease, me caresser avant de vous sucer, avaler, me faire baiser, et me faire « enculer » comme vous dites...et, de toute façon, je ne vois pas ce qu’il pourrait y avoir d’autre!... » J’ai ri en relevant la tête. « Dans l’ensemble, c’est ça. Z’avez raison, c’est bien l’idée générale mais j’ai d’autres idées en tête. Avec vous, c’est facile, z’ètes canon et j’suis sûr que vous avez le vice dans la peau. On va bien s’entendre, pas vrai ?» Je lui ai souri. Elle savait plus quoi répondre. Qu’est ce que je pourrai bien lui d’mander de plus ? Là, elle voyait pas ! Elle a fermé les yeux et répondu. « Je suis à vous, je n’ai pas le choix ! Je le vois bien.» « Ah ça, c’est bien vrai, z’êtes à moi, z’avez bien raison ! Allez donc vous passer un coup d’eau sur la figure. Z’étes nerveuse ! Moi, pendant c’temps, j’vais m’installer mieux q u’ça. » Tête basse, elle est allée faire un tour salle d’eau et j’ai entendu l’eau couler puis elle est r’venue d’vant moi. Confortablement installé dans l’fauteuil et j’l’ai r’gardaé. Elle était belle, très belle et complètement à ma pogne. « Alors, z’allez mieux ? » Elle a répondu, d’un ton sans ressort : « Oui, monsieur ! » « Parfait ! Très bien....R’tournez-vous, qu’j’vois votre dos. » Elle s’est retournée, lentement. « Ouais, comme ça ! Voilà ! Vous êtes canon ! Pouvez pas imaginer à quel point z’êtes bandante Bon ! Par quoi on va commencer ? Ah oui! R’tirez vot’ foulard et pis vot veste. » Elle s’est ...
... retournée vers moi et, les yeux baissés, elle a retiré son foulard et déboutonné sa veste puis l’a retirée avant de la poser sur une petite chaise, juste à côté d’elle. « Voilà,c’est bien maint’nant, le corsage, faut le défaire! » Devant moi, pâle, elle a déboutonné, un à un, les petits boutons de son ch’misier. « Alors, z’aimez faireça ? Faut m’répondre franch’ment, sinon panpan cucul! » J’ai rigolé un bon coup ? Elle s’mordait la lèvre inférieure. « Non monsieur, j’ai peur ! » J’ai ricané. « Cest bie de pas dire des ment’ries mais on s’en fout. Continuez, posez votre ch’misier sur la chaise! » Elle semblait hésiter. J’ai tapé l’accoudoir. « Oh, faut que j’sorte l’ceinturon ? J’ai pourtant été très clair! Faut pas jouer à ça avec moi, bordel de merde ! » Elle a sursauté quand j’ai gueulé un bon coup sur elle « R’tirez moi ça, vite fait ! Vite ! Ensuite, c’est la jupe que vous r’tirez et vous vous caressez là devant moi, debout, jusqu’à prend’vot’ pied. J’ai tout mon temps et j’veux vous entendre gémir ! Alors ? On fait quoi ! » Elle a répondu . « Oui, monsieur ! » A va pas chialer tout ‘même. N’importe quoi, ces gonzesses de la haute. Jamais un mec avait du lui parler de la sorte. Là, j’comprends pas ! Elle a r’tiré son corsage pour m’montrer ses nichons et son soutif en dentelle. Joli, tout ça ! Du nichon qui tient bien dans la main d’un honnête homme. Elle a dégrafé sa jupe, fait glisser la fermeture éclair en tremblant un peu. A l’avait les chocottes ; c’est bon ça, ça les ...