Une stagiaire motivée...
Datte: 23/03/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
jeunes,
Collègues / Travail
boitenuit,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
Partouze / Groupe
... qu’elle lui suscitait et ne fit rien pour fuir le contact. Pierre observait, fasciné, le ballet des doigts sous la culotte, qui, sous la pression, commençait à descendre, dévoilant le haut du triangle régulier de sa toison brune. L’homme commençait également à ne plus maîtriser son excitation face à cette superbe brune qui se livrait ainsi, et saisissant sa culotte sur les côtés, la descendit à mi-cuisses, dénudant l’intégralité de son bas ventre. Par un jeu de miroirs indiscrets, Pierre put même admirer la courbure parfaite de ses reins et le sillon profond de ses fesses. Ainsi offerte, elle ne put que laisser les doigts se nicher au creux de ses lèvres trempées, en une caresse très intime. Elle entendit le zip du pantalon de l’homme et sentit brusquement la tige dure et chaude de l’homme battre d’abord contre ses fesses avant de se couler entre ses cuisses, se plaquant contre ses grandes lèvres, affolant ses sens. Pierre voyait le gland apparaître et disparaître par-devant au creux de sa toison. Les mains crispées sur la barre de maintien, elle haletait sous la caresse perverse. La prenant par les hanches, il fit reculer pour mieux offrir sa croupe et Pierre vit le sexe de l’homme se caler au creux de ses lèvres, rentrant la moitié du gland. Mais quand Marie le sentit se nicher à l’entrée de sa grotte trempée, elle paniqua à l’idée de se laisser pénétrer et de tromper ainsi son petit ami. Son vagin se crispa inconsciemment, l’empêchant d’aller plus loin. Pierre vit alors ...
... l’homme, le sexe courbé au creux de ses cuisses, reprendre sa caresse des doigts, tournoyant sur son clitoris. Marie sentait ses bonnes résolutions fondre, surtout quand le couple sur le lit fut rejoint par un deuxième homme qui s’avança, sexe dressé vers le visage de la fille toujours pilonnée par le premier. Sans se démonter, la fille ouvrit la bouche et laissa le sexe glisser entre ses lèvres. Marie n’avait jamais osé faire une fellation à son petit copain et le spectacle des lèvres coulissant le long de la tige durcie fit craquer ses dernières barrières. Son ventre se décrispa et, inexorablement, elle sentit le gland franchir le passage étroit permettant à la tige tendue de s’enfoncer à moitié dans son ventre détrempé, lui arrachant un cri rauque. L’homme savoura quelques instants l’exquise sensation que lui procurait le fourreau brûlant enserrant son sexe, avant de pousser son avantage, finissant de la pénétrer par petits à-coups. Pierre, halluciné, vit la verge disparaître complètement entre les cuisses de Marie et le ventre de l’homme se plaquer contre la croupe ronde. Il n’arrivait pas à croire que cette jeune fille sage puisse se livrer ainsi sans retenue en public à un inconnu. La prenant par la taille, l’homme amplifia lentement ses coups de reins, ressortant presque complètement sa verge, la faisant gémir chaque fois que la large collerette de son gland franchissait l’orée de son vagin. Elle n’avait jamais ressenti de telles sensations et haletait sans discontinuer ...