Séduction délicate de la soeur de ma mère (18)
Datte: 23/03/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
... Véronique, il oublie sa famille. Moi je te conseille de trouver un type solide et oublie l’autre qui est marié. Maman te l’a dit, tu n’as que 42 ans et tu peux encore faire plein de choses. — Je désire avoir un enfant avec un homme, un enfant pour moi, tu comprends ça Anne, ce serait comme une revanche sur le destin, comme une nouvelle vie qui commencerait pour moi. Tu comprends Anne ? Lui confessa-t-elle d’une voix émue. — Véro je suis et je resterai ta grande sœur, quoiqu’il arrive tu auras mon soutien et si c’est ton souhait, alors fais un enfant même si ça n’est pas très moral. Le seul problème, ce sera l’absence de père autant pour ton nouvel enfant si tu y arrives, autant pour Oscar et Jules. Ce qui m’ennuie le plus, c’est de te savoir seule quand Patrick aura fini son stage. Lui expliqua-t-elle avec une profonde sincérité. — Nous verrons bien…Oh mais l’heure tourne, je vais mettre les garçons en pyjama et merci Anne, ça me touche beaucoup ce que tu viens de me dire. — Véronique, quoique tu fasses je l’approuverai. — Tu en es si sûre ? Dit-elle. — Oui tu es ma petite sœur que j’aime. Avec la larme à l’œil. Ce que j’entendis me bouleversa. Véronique avait tâté le terrain et ma mère lui donnait son approbation de faire un enfant, qui plus est avec l’absence de père. Bien sur cette prise de position la confortait dans le choix de tomber enceinte, mais elle s’était abstenue de mentionner le nom du procréateur potentiel. J’avais déjà en tête la réaction de ma mère, la ...
... réaction d’une mère face à son fils unique ce qui n’arrangeait rien à l’affaire. J’étais dans le doute, le doute de faire un enfant à ma tante me liait à elle pour la vie. Certes j’avais réalisé mon fantasme en la baisant mais dans cette optique, je le dépassais allègrement. Qu’y avait-il au-dessus d’un fantasme accompli ? Qu’un autre surgisse et encore un autre par la suite ? Non. Mon projet atteignait un degré bien supérieur si je mettais enceinte ma tante. Elle devenait ma compagne et comme dit précédemment, lui faire un enfant me procurait une excitation suprême, une sorte de dépassement de l’interdit. Elle était trop belle pour laisser filer une telle occasion et j’étais tombé raide dingue amoureux de Véronique. Donc je suivais mon instinct et le soir une fois le dîner terminé, mes parents montèrent se coucher nous laissant seuls dans la cuisine pour fumer une cigarette, Véro s’autorisant à en griller une. — Alors on réveillonne avec Patricia et Paul, t’as de la suite dans les idées sacrée Tatie ! — Oh Patrick je ne savais plus quoi dire…ça va être sympa, j’aurai mon neveu pour moi toute seule le soir de l’an. Je te préparerai un bon petit plat et ne me regarde pas comme ça, on dirait que je suis ton dessert… — Tu comprends vite, viens sur mes genoux ma Véro. — Oui mais je veux te dire quelque chose d’important. J’ai longuement parlé avec Anne, enfin ta mère cet après-midi. En prenant place sur moi. — Oui j’ai à moitié entendu et elle n’est pas contre que tu fasses un enfant ...