1. Mes infidèles années (1)


    Datte: 23/03/2019, Catégories: Partouze / Groupe

    ... seulement imbibée d’alcool. Je soupirai en sortant mon portable. « Bon, j’appelle les gendarmes. » La chauffarde releva brusquement la tête. « Hein ? Mais pourquoi ? » Je fis la moue. « Parce que vous êtes clairement bourrée et que vous avez sûrement fumé aussi. Vaut mieux que vous perdiez votre permis plutôt que de vous tuer ou de tuer quelqu’un. » Elle me lança un regard suppliant et, voyant que j’avais du mal à détacher les yeux de son décolleté, tira sur son débardeur pour me révéler le haut d’un joli soutien-gorge clair. Quelque part dans mon pantalon, mes instincts primaires s’éveillèrent. « On peut peut-être s’arranger, non ? » minauda-t-elle. Je haussai un sourcil. « C’est à dire ? » demandai-je. Elle tira un peu plus sur son haut et se pencha légèrement en avant. Ma bouche était étrangement sèche, mon boxer bizarrement étroit. « Une pipe et on oublie les gendarmes ? » Je la regardai droit dans les yeux. Ceux du haut. « Tu sais, la vie c’est pas un film porno » répliquai-je « on peut pas régler tous les problèmes en taillant des pipes. Surtout quand on a fait une connerie. » « S’il vous plaît » supplia-t-elle. « Je viens à peine d’avoir mon permis, si les gendarmes viennent je vais le perdre ! » Je haussai les épaules. « Fallait y penser avant de prendre le volant bourrée, non ? » Elle était sur le point de fondre en larmes. Elle avait beau me faire bander comme un âne avec ses attitudes provocatrices, je n’avais pas l’intention de laisser un danger pareil sur la ...
    ... route. Elle avait beau être touchante avec ses grands yeux verts humides, je ne voulais pas me faire avoir. Sa pote finit par sortir elle aussi. Elle était plus grande, brune avec un carré, plutôt mince et sans trop de formes. Elle avait un joli visage, bien découpé, piqueté de boutons d’acné. Il y avait un je-ne-sais-quoi chez elle qui me donnait terriblement envie, une pulsion primitive et soudaine. Je voulais la retourner, la pencher sur le capot, faire claquer mes reins contre ses fesses, couvrir ses petits seins et ses joues de sperme. « Vous êtes sûr que vous voulez pas accepter sa proposition ? » demanda la petite brune avec la voix pâteuse de celle qui a fumé le joint de trop. « Ça arrangerait tout le monde j’crois. » Je braquai mon regard dans le sien, poussai un profond soupir. « Bon, d’accord. Mais c’est sur ton visage que j’éjaculerai. Ok ? » Elle eut l’air horrifiée par cette idée, mais finit par céder devant le regard suppliant de son amie. La rousse se mit aussitôt à genoux devant moi, mais je l’arrêtai. « Pas dans la rue. » ahbayynq Je désignai le parking d’une supérette, plongé dans l’obscurité, à une cinquantaine de mètres. « Prenez votre caisse, on va là-bas. Et pas la peine d’essayer de vous barrer, j’ai noté votre plaque d’immatriculation. » Chacun remonta en voiture, direction le parking. A peine fûmes-nous arrivés que la rousse, dont j’appris plus tard qu’elle se prénommait Fanny, s’agenouilla devant moi, baissa mon pantalon et mon boxer, et s’engouffra ma ...