-
Real Humans (8)
Datte: 19/08/2017, Catégories: Hétéro
... sur le bureau. Il lui retira sa robe en prenant grand soin de ne pas l’abimer. Il fit tomber ensuite son pantalon et commença à la culbuter sur le bureau. Les relations de ce type étaient interdites dans les locaux de la brigade …. Officiellement. Georges le savait mais s’en foutait. A ces yeux, toute occasion était bonne pour s’envoyer en l’air avec sa femme. Ils ont multiplié les positions jusqu’à se faire interrompre par le grand patron. Même si les murs étaient relativement bien isolés, le fait que la femme de Georges soit entrée dans son bureau avait fait le tour de la brigade. Georges avait bien souvent fait l’éloge de sa beauté et à la porte du bureau, deux de ses collègues les espionnait, l’un regardant par la serrure et l’autre l’oreille collée à la porte pour écouter. C’est là que le patron est arrivé, attiré par ce qu’il se passait dans le couloir. Après avoir fait déguerpir les deux curieux, il entra dans la pièce et surpris Evepoitrine dénudée plaquée à plat ventre sur le bureau et Georges la bourrant comme un sauvage en levrette. — GEORGES ! Non de dieu mais qu’est-ce que vous faites ? — Oh merde. Désolé monsieur le directeur, Je … Nous …. Répondit-il en remettant son pantalon, tout penaud. — Ce n’est pas un lupanar ici. Veuillez-vous rhabiller immédiatement. Je ne tolérerai pas une minute de plus ce genre de comportement. — Je suis navré (merde j’avais oublié de fermer la porte). — Nous en reparlerons demain, soyez en sûr. Vous écoperez d’un avertissement. — ...
... …. Bien monsieur. Georges et Eve se rhabillèrent et sortirent du bureau. Chemin faisant vers la sortie, les deux curieux s’excusèrent de s’être fait remarquer et les accompagnèrent vers la porte. Avant de les laisser partir l’un d’eux lança à Georges : « T’avais raison, elle est super bien foutue ta femme ». Personne n’avait rien remarqué sur elle, tant mieux. Il faut dire qu’ils n’ont fait que l’apercevoir brièvement. Dans la voiture, Eve s’excusa de ne pas avoir refusé car elle se sentait fautive. Georges la rassura car c’était lui qui avait proposé de s’envoyer en l’air, d’autant qu’il n’avait pas fermé la porte. — Dis-moi Georges, quand ton chef a dit « mais qu’est-ce que vous faites ? », il ne savait vraiment pas ce qu’on faisait ? — Hehe ! si, il le savait. — Mais alors pourquoi l’a-t-il demandé ? Il voulait qu’on lui explique ? Qu’on lui montre ? — Hors du boulot il n’aurait surement pas dit non pour ce qui est de se rincer l’œil mais là il avait raison. On n’aurait pas dû faire ça ici. — Il voulait juste en être sûr alors ? — …. Oui on va dire çà … Ça amusait Georges de faire l’éducation d’Eve sur certaines subtilités. Ils ont continué leur trajet jusqu’à un restaurant où ils avaient leurs petites habitudes et réservé une table un peu isolée du reste de la salle. Le serveur qui les a accueillis les connaissait pour avoir déjà aperçu Eve de loin dont les pieds dépassaient de dessous la nappe. Il les mena à leur table et ne revint que quelques minutes plus tard, Georges ...