1. Il faut que je me laisse aller


    Datte: 25/03/2019, Catégories: ffh, hplusag, fplusag, jeunes, couple, voisins, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio,

    ... chatte. Elle me regarde à nouveau et ouvre ses lèvres, me montrant la semence de mon mari sur sa langue, puis l’avalant. Houlà, c’est chaud ! Elle reprend son souffle, plonge à nouveau ses yeux dans les miens puis revient vers ma chatte, enfonçant sa langue profondément en moi cette fois-ci, puis la tournant tout autour pour récupérer les dernières gouttes. Les étoiles qui montent dans mes yeux sont de plus en plus éclatantes. Cette fille va m’amener à la jouissance plus rapidement que mon mari ne l’a jamais fait jusqu’à ce jour avec un cunnilingus. Elle s’attaque maintenant directement à mon clitoris, le frottant doucement avec le bout de sa langue. Sans que je puisse la maîtriser, ma respiration s’est accélérée et je pousse de petits gémissements continus. C’est tellement bon que je ne m’aperçois que ses doigts ont remplacé sa langue dans mon vagin que lorsqu’elle se met à me pistonner sur un rythme aussi intense que celui que mon mari avait pris il y a quelques minutes. Mes doigts de pieds recroquevillés, mes gémissements de plus en plus forts, mes jambes commencent à trembler. Sa langue s’attaque maintenant directement et très efficacement à mon clitoris, qu’elle suce, lèche, aspire… et les étoiles dans mes yeux explosent d’un seul coup ! Je crois que je prends son visage dans mes mains et que je le presse contre ma chatte comme je ne l’ai jamais fait avec mon mari, mais je n’en suis même pas consciente. Mes tremblements semblent ne jamais vouloir s’arrêter. « Oh, mon ...
    ... Dieu ! Marion… » me semble-t-il entendre. C’est peut-être moi qui l’ai dit… je n’en sais rien, je suis complètement partie. Très lentement je m’apaise, me relaxe, redescendant sur terre, comme un ballon qui se dégonfle. Et je sens qu’un sourire niais, ridicule, envahit peu à peu mon visage. Marion me donne un dernier baiser sur le sexe puis vient s’allonger sur moi, sa tête reposant sur mon épaule, ses seins adorables pressant sur le bas des miens. Je note d’ailleurs que ses tétons sont largement aussi durs que les miens. Je la serre doucement dans mes bras, pleine de reconnaissance pour ce qu’elle vient de me donner. — C’était fabuleux, Marion… je lui murmure, embrassant ses cheveux. Nous nous câlinons longuement, et poliment mon mari ne nous dérange pas. Après quelques minutes elle tourne sa tête vers lui, tout en restant fermement accrochée à moi. Elle lui mord légèrement l’épaule : — Tu avais promis, lui dit-elle ; tu avais promis de jouir dans ta femme.— Je suis content d’avoir pu le faire. Merci de m’avoir arrêté. Il essaie de paraître désolé, mais le sourire éclatant que je vois sur son visage montre que rien de ce qui s’est passé ce soir ne le désole en quoi que ce soit. — Ça lui arrive souvent d’oublier des choses importantes comme ça ? me demande-t-elle.— Seulement quand il est trop excité pour faire attention. En général, il est plutôt à l’écoute de mes envies. Nous nous mettons à l’aise, tous les trois dans le grand lit conjugal, Marion entre nous deux. Elle a gardé ...