DÉFLORATION DE LA FILLE D’ODILE
Datte: 25/03/2019,
Catégories:
Première fois
... ses amis, mais aussi sur sa façon de s’habiller et sur la grâce qu’elle dégage. Il se garde bien de faire la moindre allusion à son physique, ne mettant jamais mal à l’aise la fille d’Odile. Elle se demande tout de même ce que fait sa mère avec cet homme d’un âge certain, car elle ne peut douter qu’il y ait quelque chose entre eux. Malgré tout, elle est sous le charme du vieux Monsieur, lui faisant même des confidences sur son petit ami Gérard et sur ses appréhensions de fille sage qui est encore vierge. Edmond ricane en lui-même, si cette jeune pucelle savait que son coquin de Black avait baisé sa mère dans un cinéma porno, alors que lui même la sodomisait en même temps, elle serait sans aucun doute horrifiée. Pourtant, il a bien l’intention de lui faire endurer mille cochonneries. Muriel est sensible aux petits cadeaux du notaire, il lui offre un carré Hermès, et un parfum parfaitement choisi pour la jeune fille délicate qu’elle est. Il arrive même à l’entraîner dans une boutique de Biarritz où il lui fait essayer plusieurs robes printanières en soie, se permettant même de toucher les tissus et par là même effleurer le dos, une épaule ou même un sein. Muriel est très troublée, éprouvant un sentiment d’affection pour le vieil homme. Elle se dit que c’est avec un homme comme lui, délicat et attentionné qu’elle éprouverait du plaisir à perdre sa virginité, plutôt qu’avec un rustre comme Gérard. La jeune fille est bien ferrée, alors qu’elle accepte des cadeaux de plus en plus ...
... somptueux et surtout des sous-vêtements arachnéens. Elle ne peut refuser, lorsqu’elle les essaye de se montrer à lui en soutien-gorge et petite culotte en dentelles. Celui-ci caresse comme par inadvertance les formes arrondies de la jeune fille, qui se laisse faire sous les compliments de plus en plus suggestifs de ce coquin de notaire. Muriel est curieuse des choses du sexe, bien qu’elle s’en défende, surtout après ce qu’elle a vécu avec son ex et la rupture qui s’en est suivie. Muriel est très sensible au grand jeu d’Edmond, ainsi dans une cabine où elle fait un énième essayage, elle se laisse embrasser par le vieil homme qui lui caresse la poitrine et la croupe avec beaucoup d’adresse. Puis, elle éprouve des frissons sous les mains qui palpent ses fesses et ses seins, qu’il a même sorti du soutien-gorge qu’elle essayait. Elle est surprise par son baiser langoureux où leurs langues se mélangent. Elle laisse même une main se glisser sous son slip et atteindre son mont de vénus. Les doigts frôlent sa vulve, lui faisant beaucoup plus d’effet que la masturbation qu’elle s’octroie parfois. Lorsqu’un doigt s’insinue dans sa fente, elle a un gémissement mais se laisse faire, se rendant bien compte que le doigt qui s’agite dans l’onctuosité de sa vulve lui donne des frissons incroyables. Lorsqu’elle sent la jouissance l’envahir, elle connaît pour la première fois une délicieuse plénitude. Elle est reconnaissante à Edmond, de ne pas avoir été plus loin dans cette cabine peu discrète, ...