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Le club de vacances (1)
Datte: 25/03/2019, Catégories: Erotique,
... très vite sa fente ouverte, clapotante de désir, elle cria quand je poussai mon index et mon majeur d’un seul coup, puis aussitôt porta sa main elle même à son bouton, le pinçant presque pour augmenter son plaisir. isnikkbf Je n’en pouvais plus, jamais ma queue ne m’avait paru si dure si grosse d’envie ...mes doigts retirés avaient laissé son con béant et luisant, je saisis ses hanches et lui enfournai d’un coup, jusqu’à ce que me couilles viennent se frotter à ses fesses. Je pensais en moi-même « ça y est tu la baises enfin comme elle le mérite » mais c’est elle qui guida ma main sur son anus, sans un mot (un seul avait été prononcé depuis le début !!) mais avec une envie tellement explicite. Je lui doigtai le cul, la maintenant ainsi sous moi, elle continuait à pousser ses reins vers moi comme pour se déchirer encore. Je réussis à ne pas jouir en elle avant qu’elle commence à râler au rythme de ses coups de bassin…malgré la position c’est elle qui me baisait et elle me le faisait comprendre !!! Dans un dernier sursaut de raison je retirai mon sexe de son ventre et lui giclai tout mon foutre sur le dos et les ...
... reins…inondant au passage ma main sur son cul !!!! Elle s’écroula sur le lit d’un coup, je n’avais pas revu son visage depuis le début, et là elle le cachait encore dans l’oreiller. Dans un geste de tendresse j’allais passer ma main dans ses cheveux, lui murmurer à l’oreille qu’elle était extraordinaire mais elle se retourna d’un coup son visage inondé de sueur, et ses cuisses écartées luisantes de mon foutre et de son désir. Elle saisit ma queue encore dressée, y planta ses ongles « baise-moi…mieux que ça » Cette demande presque humiliante, la douleur de ses ongles qu’elle plantait dans ma chair encore échauffée du frottement de son ventre, éveillèrent en moi une haine froide de cette femme. J’allais me jeter sur elle, quand je me ravisai et me contenter de lui jeter au visage « demande à ton mari de te finir… », et de me relever en rajustant tant bien que mal mon bermuda sur ma queue endolorie. J’avais à peine fais une dizaine de mètres dans les allées du village que je le croisais justement, je ne pus m’empêcher de sourire en imaginant dans quel état ce « cocu » allait trouver sa chère épouse….on a les vengeances qu’on peut !!!