1. Christine V : Coeur, sexe et imagination (1)


    Datte: 25/03/2019, Catégories: Hétéro

    En janvier 2014, en week-end, Christine et moi avions tout mis à plat (voir Christine IV). Et nous avions pris deux décisions : nous ferions l’amour au moins deux à trois fois par mois et Christine s’engageait à remettre des jarretelles lors de certaines sorties. Peu de choses, à vrai dire. Mais cela nous a permis de revenir petit à petit l’un vers l’autre, même si cela n’a pas été simple. Nous avons dû réapprendre à faire l’amour ensemble, nous redécouvrir. Nous étions les mêmes, mais les dernières années avaient laissé des traces. Le plaisir n’a pas été tout de suite au rendez-vous. Christine reprenait peu à peu goût à l’amour physique. Je ne voulais absolument pas qu’elle se force. Mais elle était autant que moi à l’origine de nos ébats. Il nous a néanmoins fallu cinq à six mois pour être à nouveau en phase durant nos moments câlins. Et ce n’est qu’à partir de septembre que nous pratiquerons à nouveau la sodomie. A petite dose. L’autre décision tenait aux dessous de Christine. Elle avait commencé par un porte-jarretelles lors de la Saint-Valentin. Elle avait remis ça le mois suivant pour l’anniversaire d’une amie qui se déroulait dans une salle de fêtes. En avril, c’est une guêpière pour un restaurant en tête à tête et un body string en dentelles le dimanche de Pâques pour le repas de famille. Pour mon anniversaire, elle ne met aucun dessous sous sa robe et elle récidivera à plusieurs reprises jusqu’à fin septembre. En octobre, le porte-jarretelles fait son retour au ...
    ... travail. Elle prend conscience qu’elle ne l’avait plus fait depuis l’automne 2009. En novembre, Christine m’accueille un soir à mon retour du travail dans son costume de soubrette. Elle a fait garder les enfants et nous "baisons" pour la première fois depuis de longs mois. Je retrouve ce soir-là celle qui aimait parfois la performance au détriment du plaisir, celle qui demandait vulgairement de "se faire enculer", celle qui me faisait penser que j’étais dans un film pornographique avec ses positions obscènes et son visage provocateur, celle que je défonçais sans ménagement et qui en redemandait. Mais le plus important ne se trouve ni dans nos ébats, ni dans la lingerie de mon épouse. Rapidement, nous constatons que nous "soufflons" ensemble sur les braises. Au quotidien, cela se traduit par des petits gestes de tendresse bien plus nombreux, par des attentions régulières, émanant de l’un comme de l’autre. Avec intelligence, mais non sans heurts, notre couple avait su rebondir. Je n’avais plus du tout envie d’aller voir ailleurs. Ailleurs justement, Monica divorçait. Entre Christine et moi, toute ambiguïté, toute confusion, tout malentendu était immédiatement discuté et réglé. Nous atteignons ainsi 2015, année importante, dans d’excellentes dispositions. Cette année marque en effet. les 20 ans de notre rencontre et nos 10 ans de mariage. Et nous fêtons tous deux nos 40 ans. La première fête s’était déroulée le samedi 17 janvier. J’avais organisé la soirée d’anniversaire de Christine ...
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