1. L'ami d'enfance


    Datte: 26/03/2019, Catégories: fh, extracon, inconnu, poilu(e)s, BDSM / Fétichisme odeurs, Oral

    ... une vie privée… À ce moment-là, je me lève, je prends un jean propre dans mon sac et je me dirige vers la salle de bain. J’y entre aussitôt et je m’enferme. Effectivement, Isabelle n’a rien rangé depuis son passage : des serviettes sont posées par terre et j’aperçois une petite culotte dans un coin de la pièce. C’est un string noir avec de petites fleurs roses. Sans me poser de question, je le ramasse et je le porte à mes narines. Quel parfum délicieux ! La chatte d’Isabelle est odorante, avec une saveur poivrée comme je les aime… Je regarde le gousset de son slip et découvre de belles traces de cyprine que je ne peux m’empêcher de lécher… J’adore ce genre de situation, surtout quand la petite culotte appartient à une femme que je ne connais même pas… Quand je ressors de la pièce, je devine l’air inquiet d’Isabelle qui semble se dire « Pourvu qu’il n’ait pas trouvé la culotte… ». Si elle savait combien je me suis délecté de son parfum intime ! Sans lui demander son avis, je ressers un cocktail à Isabelle. Je vois bien qu’elle me regarde d’un air réprobateur, mais elle boit et vient s’asseoir à côté de moi sur le canapé. — C’est bizarre, me dit-elle, mon mari ne m’a jamais parlé de toi…— Il avait sûrement peur que j’essaie de lui piquer une si belle femme, réponds-je en riant. Isabelle rougit. — Toi, tu es un sacré dragueur ! me dit-elle.— Pourquoi ? Cela te déplaît ? lui rétorqué-je du tac au tac.— Pas forcément, mais nous nous connaissons à peine… À ce moment-là, je me ...
    ... demande quelle stratégie adopter : celle du mec besogneux qui progresse pas à pas et essaie de plaire à la femme qui est avec lui, ou celle du bulldozer qui fonce et renverse tout sur son passage ? — Je te connais beaucoup mieux que tu ne crois, lâché-je d’un seul coup.— Ah bon ?— Oui. Je peux même dire que je te connais intimement.— Je ne comprends pas, s’étonne-t-elle en me regardant avec de grands yeux…— Oui : si tu ne voulais pas que je fasse la connaissance de ton intimité, il ne fallait pas laisser ta petite culotte dans la salle de bain. Désormais, je n’ignore plus rien de tes senteurs les plus secrètes et j’avoue que tu m’as vraiment excité…— Mais c’est une honte ! se récrie-t-elle. Tu entres chez moi, je ne te connais même pas et tu te permets de renifler mes petites culottes !— Oui, et quel parfum délicieux, lui asséné-je sans gêne. Isabelle rougit et hausse les épaules. — Tu es quand même gonflé de me le dire, fait-elle remarquer.— Tu préférerais que je l’aie fait en cachette et que je n’aie rien dit ?— Non…— Alors, tu vois bien, ton mari n’est pas là… Apparemment, il ne se souvenait même pas que je devais passer et, si tu ne lui raconte rien, il ne saura même pas que je suis venu. Tu n’as pas envie que nous passions un bon moment tous les deux ?— Si, me répond-elle, mais j’ai honte… À ce moment-là, je me rapproche d’Isa sur le canapé et je pose ma main sur sa cuisse droite. Elle porte une jupe assez courte et retire sa jambe instinctivement. — Excuse-moi, dis-je en ...
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